Chapitre sans titre 1

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Y a pas de perso d'animé mais c'est quand même un yaoi. 

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Je m'ennuyais, j'ai jouais, je t'ai perdu. Voilà le résumé des deux mois qui viennent à peine de s'écouler. Le pire dans tout ça c'est que tu m'avait prévenu. 

Ce soir d'été je n'avait pas voulut t'écouter, il était plus facile pour moi de faire une promesse que je ne pouvais tenir, que de voir la réalité en face. Mais tes mots m'avais tellement fait mal. Le pire c'est que cela ce voyait que tu les avait choisi au préalable. Que tu y pensé depuis un petit moment. Tu remarqué des choses chez moi que même moi je n'avais pu constater. 

Alors quand tu as rompu ce silence des plus reposant et que blottit dans mes bras tu as sorti dans le plus grand des calmes, "Je le sais, ta flamme ne s'arrêtera jamais de bruler, seulement elle brulera pour quelqu'un d'autre que moi",  tu m'avait comme mit au pied du mur. Tu m'avais posé là, devant une évidence des plus cruelle.

Je fût sur le moment la personne la plus blessé de nous deux. Sans aucun doute. Après tout tu avait eu le temps de comprendre cette vérité de toi même et petit à petit. Et par la suite je fut tant attristé par ta phrase que j'ai essayé tant bien que mal de panser ta blessure, que je venait tout juste de remarqué, par une phrase qui n'eu pour effet de l'ouvrir encore plus. "mais quesque tu raconte je t'appartient à tout jamais tu peu me croire".

A chaque fois que je te regardais cette phrase résonné dans ma tête comme l'éco d'un terrible présage. Et à chaque fois que tu m'observais, ton regard épuisé m'empêché de t'aimer comme au début.

Fatalement je fût lassé de cette situation. Et ton présage s'accomplit. Mon cœur se mit à pencher pour une autre personne et ma conscience ne voulait te donné raison. Je ne pu donc t'accorder le répit de te libéré de cette relation bien trop étouffante pour toi. Je rentrais tard, tu m'attendait. Je ne te regardais plus, et tu pleurait. Tu te vidait de toute joie de vie en les laissant glisser le long de tes joues.

Le plus pitoyable dans tout ça c'est que ce fût toi comme d'habitude qui pris les devant et me laissa reprendre goût à une vie plus tranquille. J'aurais du avoir la sagesse de le faire. Malgré cela je ne pouvais m'y résoudre. Tu était la personne qui m'avait accompagné dans mon coming out, avec qui j'avais fait ma première fois, avec qui j'avais eu mon premier appartement. Et par dessus le marché tu était juste toi. Dans toutes les occasions imaginable tu resté fidèle à tes conviction et à tes façons de faire. Et peut-être qu'au final je t'aime toujours de cette flamme que tu disait éteinte. Je ne sait juste plus t'aimer.

Alors pardonne moi pour tout.

One shot animéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant