One shot animé

BAKUDEKU 7

PDV OMNISCIENT :

Cheveux vert, yeux de couleurs émeraudes, gentil, d'habitude souriant et rieur. Il était cette fois ci avachi en boule sur son lit entrain de se demander comment cela avait pu en arriver là.

Il le savait son père allait bientôt débarquer dans cette grande pièce, pour le prévenir que les prétendantes entant que futur duchesse était présente dans la salle de balle/réception. Son père ne voulait pas l'obliger à se marier même si c'était la coutume; mais lorsque une servante avait surprit le jeune duc dans les bras d'un homme, qui plus est un paysan, il c'était senti obligé de tout préparer. 

Il tenait à prouver à son fils qu'une jeune fille de la haute société était le seul parti intéressant pour lui. Malgré tout une partie de lui ce demandait qui essayait il de convaincre réellement; lui ou son fils?

En apprenant cette nouvelle il avait de suite fait convoquer le vert et son supposé amour d'été.  D'après le grand duc le blond au caractère de chien qui c'était présenté sous le nom de Katsuki Bakugo, n'était définitivement pas la bonne personne pour sa descendance. Pourtant il les avait vu. Ces regards remplis d'inquiétude, d'appréhension, de colère et surtout d'amour. Lorsque la paire d'émeraudes et celle de rubis se croisaient c'était une avalanche de puissants sentiments qui s'écrasait sous les yeux des personnes autour. Leur duo empêchait quiconque de détourner les regards d'eux. 

Le duc Midoria allait surement flanchait pour passer outre devant se phénomène, mais c'était sans compter l'arrivé de sa femme qui trancha et interdit son fils et son amant de se revoir.

Voilà comment la situation plus que paradisiaque était devenu un enfer invivable. 

Izuku se sentait étouffer sans son blond, et Katsuki se sentait défaillir sans son vert. 

Les pensés du brocoli se stoppèrent en même temps que le grand duc débarqua pour emmener son fils voir sa futur femme.

Izuku avait toujours eu la réputation d'avoir une beauté plus douce qu'une plume et un caractère plus agréable que le chant des oiseaux. Alors inévitablement quand une annonce proposait aux femmes riches de venir pour avoir la chance de se marier avec lui, un réel troupeau était apparu.

Les gardes annoncèrent le duc et sa progéniture, ouvrir la porte les laissant apparaitre et un brouha monstre se forma. Ce dernier disparu aussi brutalement qu'il apparu. 

Les heures passèrent et aucun résultat concluant. Izuku ne pouvait s'empêcher de comparait les demoiselles qui lui semblaient bien fades à son cher et tendre. Il avait l'impression qu'il n'en finirait jamais. Puis lorsque la fin commençait à arriver son soleil entra.

Les personnes présentes dans la salles ne savait pas comment réagir. Voici qu'un blond habillait élégamment s'avançait la tête haute. Son regard encrait dans celui de la personne qu'il considères comme étant l'homme de sa vie. Les épaules robuste faisaient de sa présence quelque chose de majestueux. 

Midoria furieux de le voir ici se leva et ordonna à ses gardes de lui faire débarrasser le planché, mais un certain vert se révoltât et leur dit le contraire. Il pouvait tout supporter comme les remarque désobligeante de son père, et les gifles defois assez violente de sa mère, mais il y avait bien une chose qu'il ne tolérerais jamais c'était que l'on se prenne a son Kacchan. Il entra dans une colère que personne ne lui connaissait et se retourna vers son père pour lui cracher à la figure tout ce qui s'était retenu de dire. 

Une fois ses nerfs calmés il se dirigea vers Katsuki qui avait un sourire de satisfaction collé sur son visage et l'embrassa de pleine bouche. Leur manque de contact était si profond qui leur semblaient que l'explosion de sentiments dans tout leur être était plus forte que d'habitude. Et ce fut comme une confirmation pour Deku. 

Il ne pouvait plus vivre sans son blond ténébreux aux allures fières. 

Comme des enfants, comme des idiots, ils se dirigeaient en courant vers la porte. Une fois passé, ils montèrent sur les chevaux qu'avait préparé à l'avance Katsuki.

On ne les revis plus jamais à compté de ce jour. Certain racontaient que le diable les avait emporté dans leur amour interdit, d'autre supposaient qu'ils avaient fini brulé par des paysans. Et dans toutes ces histoires qui s'approchaient plus ou moins de la réalité c'était celle du Grand duc qui se répétait chaque nuit que son fils vivait la plus belle des vie afin de se rassurer qui avait raison.