Quand j'ouvrais les yeux, je faisais la grimace à cause du gros coup que j'avais reçu, je me retrouvais entièrement dans le noir, sur un matelas à même le sol, je sentais l'odeur du moisi quand je passais ma main dans mes cheveux, je sentais quelque chose d'humide, je mettais mon doigt près de mon nez, mais je ne sentais aucune odeur. Je me levais difficilement en mettant mes mains devant moi tout en marchant pour éviter de me cogner, quand mes mains touchaient le mur, je les faisais glisser tout en me déplaçant, j'ai dû faire le tour de la pièce en cinq minutes, il n'y avait rien d'autre dans la pièce à part un matelas au sol et la porte qui était fermé à clef.
Je m'allongeais sur le matelas en soupirant fortement, je commençais à attendre que le temps passe, les secondes se transformait en minutes et les minutes en heure, je pensais aux choses que ma famille faisait à l'instant même n'ayant aucune nouvelle et je ne pouvais pas appeler de l'aide, je devais vraiment faire preuve de patience. J'ai dû attendre un long moment jusqu'à ce qu'une grosse lumière m'éblouissait, la lumière étais si puissante qu'elle me faisait mal aux yeux et cela faisait un énorme bruit de grésillement, je faisais la grimace en cachant mes yeux.
- Alors, tu comptais, allez quelque part ?! Je m'amusais tellement bien avec ta mère. Me disait-il sur un ton narquois. J'enlevais mes mains de mes yeux et je remarquais qu'au mûr, il y avait pleins de photos de ma mère et des photos de moi, je savais que maintenant il nous suivait discrètement et que l'autre jour quand j'étais au restaurant avec Addison c'étais bien lui. J'avais envie de le tuer, je ressentais vraiment de la haine.
- Tu n'es qu'un putain de malade ! Disais-je en lui criant dessus.
- La ferme ! Me disait-il en me criant dessus tout en me donnant une grosse baffe sur la joue, puis il se mit accroupie devant moi en allumant une cigarette tout en me jetant dessus, la fumée ouvertement, il rajouta :
- Donc comme je le disais, je m'amusais tellement bien avec ta mère, elle a tellement de belles courbes, je suis sûre qu'elle a aimé quand je l'ai sauté comme un cheval. Disait-il en rigolant.
- Je te jure que je vais te tuer, tu es un gros pervers de psychopathe !! Criais-je en lui sautant dessus pour l'étrangler, mais il me porta par les hanches et me balançais sur le matelas avec brutalité et violence, il se mit à califourchon sur moi en tenant mes poignets fermement de chaque côté de ma tête en me disant :
- Tu es comme ta mère, toi, telle mère, telle fille, mais tu sais quoi au bout de combien temps, elle va se rendre compte que tu es avec moi ? 3 jours ? une semaine ? un mois ? Disait-il en me soufflant sa fumée de cigarette au visage. Je lui crachais au visage en le dévisagent. Il essuya son visage avec ses doigts et les léchaient en me regardant avec un sourire, il regarda la fin de sa cigarette et l'écrasa sur le creux de ma main, je hurlais de douleur à en pleurer ce qui le faisait rire encore plus.
- Tu n'es qu'une sale drogué et une grosse alcoolique, retiens bien ça. Disait-il en me giflant, puis il se redressa et quitta la pièce en fermant la porte derrière lui à clef, la lumière s'éteignait au bout de quelque minutes, je comprenais que l'interrupteur de la lumière étais à l'extérieur. Je hurlais de douleur en sanglotant dans le noir tout en n'étant allongée, recroqueviller sur moi-même sur le matelas, je réussissais à me calmer au bout de longues minutes, quand il revenait je me faisais agresser par la lumière intense, il me jeta à la figure la boite d'oxycodone et me tendit une bière, je prenais de l'oxycodone avec la bière difficilement.
- J'ai envie d'aller aux toilettes. Disais-je en tremblant avec une voix un peu fatiguée, il rigola en balançant un seau en métal dans le coin de la pièce tout en disant :
- Voilà tes toilettes. Je le regardais sans dire un mot, sans même bouger. Il m'arracha des mains la boite d'oxycodone, et quitta la pièce, il revenait avec une tenue dans les mains qui brillait ; Lewis me la balançait sur le visage en me disant :
- Tu vas mettre cette tenue. Disait-il d'une voix autoritaire. Je découvrais la tenue qui était une robe très courte avec un grand décolleté et de fine brettelle de couleur noire qui brillait, je le regardais en lui disant :
- Non. Disais-je en le regardant dans les yeux. Il se jeta sur moi violemment et arracha mes vêtements en disant :
- Très bien, je vais le faire ! J'essayais de me débattre, mais j'avais beaucoup moins de force que lui. Je me retrouvais vite en sous-vêtements, je lui dis :
- C'est bon, je vais le faire ! Disais-je en lui criant dessus tout en me retournant pour mettre la robe.
- Brave fille. Me disait-il en me tapotant la joue de petites claques quand j'étais en tenue, il me traina par le bras de force à l'extérieur de la pièce. Il me traina jusqu'à des petits escaliers, quand il ouvrit la porte, il me balançait tellement violemment que je m'écroulais au sol, je relevais ma tête en restant assise au sol, mes yeux tombait sur un homme noir qui fumé une cigarette assis à une table en métal. Il me regarda en souriant d'un regard noir, il dit à Lewis :
- Alors c'est elle ?!
- En chair et en os, si tu la veux pour une heure, c'est 800 $. Disait-il en me caressant les cheveux brusquement. Je les regardais tout en restant au sol avec un air apeuré.
- Et bah mon vieux, elle ne vaut même pas un dollar, tu te fous de moi ? Disait l'homme en se levant tout en donnant un coup poing sur la table, je sursautais en regardant Lewis.
- Très bien, alors je le fais à 50 $ minimum, c'est bon ? Disait-il en se mettant devant moi.
- Très bien. Disait l'homme en donnant un billet à Lewis, il quitta la pièce en fermant la porte derrière lui. Je me retrouvais toute seule avec l'homme noir, il me dévisagea en me disant :
- Lève-toi connasse ! Me criait-il en m'arrachant le bras pour me mettre debout, il me tenait fermement puis il m'attacha à un tuyau en haut de ma tête, mes pieds touchaient à peine le sol, je sentais les battements de mon cœur s'accéléré, il enleva la ceinture de son jean rapidement et commençait à me fouetter en disant :- Nous n'aimons pas les personnes comme ta pute de mère ! Je commençais à sangloter de douleur et je devais encore supporter ça pendant une bonne heure.
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Mon univers
FanfictionTout le monde a déjà rêvé d'une vraie histoire, une vraie vie avec ses personnages ou de ses actrices préférées, j'ai réussi à créer tout un univers avec des personnages et des acteurs que tout le monde connaît. Une vie chargée de secrets, un mariag...