CHAPITRE 32 : LE MÉPRIS

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Le lendemain matin, je me réveillais à cause d'une énorme migraine, ça faisait 3 jours que je me levais avec des grosses migraines, je savais que c'étais à cause de toute la dose d'oxycodone que je prenais. Je me retournais dans le lit sur le côté, Addison dormais encore, mes yeux tombaient sur son dos. Je me levais doucement du lit et pris un médicament pour ma migraine avec mon oxycodone, je me glissais à nouveau dans le lit sans faire de bruit, le réveil de la table de nuit affichais 9h.

Je me rendormais au bout de longues minutes en regardant ma femme dormir qui me tournait le dos. Quand j'ouvrais mes yeux à nouveaux, ma femme n'étais plus dans le lit, il était 10 h 30, je me levais du lit en allant dans le dressing pour prendre ma dose et descendit dans la cuisine pour prendre mon petit-déjeuner. Addison me regardait avec un air un peu inquiet, je la regardais tout en levant les yeux au ciel en lui disant :

- Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a encore ?

- Rien, c'est juste que j'ai l'impression que tu n'as pas dormi de la nuit avec les yeux que tu as, où, sois, tu as pris quelque chose. Me disait-elle doucement. Je ne répondis pas et l'ignore en ouvrant la porte de la baie-vitré pour faire sortir Rosie dans le jardin, Pablo se frottais aux jambes de ma femme.

- Tu prends de la drogue hein ? C'est ça ? Me disait-elle sur une voix sec doucement. J'avais ma tasse de chocolat dans les mains, à ses mots, je ressentais de la haine qui prenait le dessus sur moi. Je déposai violemment la tasse sur la table qu'elle explosa, je me retournais en regardant Addison tout en la fusillant du regard, je lui arrachai ses cheveux tellement violemment que sa tête penchait, je l'entendais et gémissait de douleur, je lui dis en criant :

- Je t'interdis de me dire ça, la prochaine fois que tu me dis une chose pareille, je te tue !! tu entends je te tue !! Criais-je contre elle, elle hocha la tête sans dire un mot. Je lâchais mon emprise sur elle tout en la poussa d'une telle force qu'elle se cogna la tête contre le mur en lui rajoutant : 

- Et vas ramasser ce que tu as fait, c'est ta faute ! Disais-je en quittant la pièce, je me retournais et je la regardais qui ramasser les morceaux de la tasse et elle passa un coup d'éponge sur la table. Je montais à l'étage pour téléphoner à ma remplaçante pour prendre des nouvelles de tous mes patients. Certain patient n'avaient plus besoin de consultation, d'autre en n'avait encore besoin, j'étais tellement contente d'avoir des nouvelles quand j'avais fini au téléphone, je m'habillais rapidement et descends. Addison étais dans le canapé en train de regarder la télévision. Je me penchais sur elle pour captiver son regard en lui disant :

- Je vais sortir faire les magasins et quand je reviendrai je veux que mon repas soit prêt et chaud et tu ferais mieux de mettre de la glace sur ta gueule, tu as un joli bleu. Disais-je en quittant la maison tout en claquant la porte. Je pris ma voiture en direction de Brooklyn pour faire les magasins, je m'achetais du maquillage, des vêtements, des chaussures et des parfums. Quand j'avais fini de faire les magasins, je commandais une petite bière à un stand puis je mettais tous les sacs dans mon coffre et je finissais ma boisson avant de prendre la route en prenant mon oxycodone.

Je démarrais le moteur en prenant la route pour rentrée, j'étais rentré vers 13h. Quand j'ouvrais la porte de la maison, je sentais l'odeur du repas flottais dans l'air, je posais mes sacs sur le sol en bas des marches des escaliers puis je m'installai à table et commençais à manger en regardant la télé avec Addison. Je regardais sa tête rapidement, le bleu sur le front se voyais encore, je continuais de manger sans dire un mot, elle avait mis la chaîne des informations à la télévision.

Pablo était couché sur son ventre en train de dormir, je finissais de manger, je mettais la vaisselle dans le lave-vaisselle puis j'envoyais un SMS à Arizona en lui disant " On se voit chez toi ? " elle me répondit aussi tôt en me répondant " Désoler, je ne peux pas, il y a Sophia et mon mari à la maison" je lui répondis " Mais allez, je sais pas dit lui que tu as été beeper à l'hôpital, mais bouge, je veux te voir ". Elle me répondit au bout de quinze minutes par " Ok c'est bon retrouve-moi à l'hôtel plazza " je lui répondis par un ok.

Je prenais mon sac à main, à l'intérieur, il y avait encore ma boite d'oxycodone, je quittais la maison sans dire un mot en claquant la porte. Au moment de monter dans ma voiture, je pris ma dose puis je partis à l'hôtel pour retrouver Arizona, je roulais à plus de 25 kWh de la limitation autorisé. J'arrivais à l'hôtel pour retrouver Arizona, on entra dans l'établissement de luxe pour réserver une chambre. Le réceptionniste nous donna une clef pour la chambre, on prenait l'ascenseur pour aller au dernier étage, on avait une grande suite avec une magnifique vue sur toute la ville. Je regardais Arizona, je commençais à être prise par ma violence une fois de plus, je la poussai violemment dans le lit qu'elle rebondissait.

- Mais qu'est-ce qui te prend ? Je mettais ma main sur sa bouche en me mettant à califourchon sur elle, je la mordillais dans le cou pour lui faire un suçon, mais je le faisais avec brutalité qu'elle gémissait de douleur.

Je la couvrais de baiser en partant de son cou tout en descendant vers sa poitrine, je sentais sa main sur ma tête je lui enlevais sa main de ma tête violement. Je lui arrachais son haut en lui enlevant violement ainsi que son jean quant à moi j'enlevais que mon haut. Je la retournais avec une telle brutalité qu'elle me disait :

- Mia, je n'ai pas envie de faire ça, je ne te reconnais pas, ce n'est pas toi ça. Me disait-elle avec une voix un peu étouffer, sa tête était plongée dans l'oreiller. Je pris la petite serviette de bain et je commençais à la fouetter en lui disant :

- La ferme !

Je lui enlevais ses sous-vêtements violemment en les balançant au sol. Elle se retourna brutalement et se jeta sur moi, je me retrouvais sur le dos dans le lit. Arizona se mit à califourchon sur moi en attrapant chacun de mes poignets fermement pour que je ne bouge pas, elle me regarda dans les yeux en se penchant près de mon visage très doucement, elle fronça les sourcils puis elle me dit :

- Tu prends quelque chose et ne me ment pas, ça resteras entre nous promis, mais ça se voit que tu prends quelque chose vu l'état de tes yeux et ne me dit pas que c'est de la fatigue parce que je ne te croirais pas. Me disait-elle fermement. Je sentais les battements de mon cœur s'accélérer, je n'avais aucune envie de lui répondre, je plongeais mes yeux dans ses jolis yeux bleus.

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