CHAPITRE 36 : L'ITALIEN

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Une bonne heure passée quand il décida enfin de me détacher, quand j'étais détachée, mon corps s'écroula au sol à cause des coups de ceinture que j'avais reçue, mes jambes et mes cuisses avaient pleins de marques. Lewis revenue avec une cigarette à la bouche, il m'attrapa par le bras fermement et me ramena dans la pièce toute noire en me balançant tout en me jetant à la figure des comprimés d'oxycodone et une bière et il éteignait la lumière, je buvais la bière avec l'oxycodone en tremblant tout en commençant à pleurer toutes les larmes de mon corps.

J'étais tellement épuisé que je vouais dormir, mais la lumière s'allumais et Lewis ne venais pas, la lumière faisait toujours autant de bruit, il était très difficile pour moi de fermer les yeux, j'étais épuisé et je ne pouvais pas fermer les yeux. Je me levais difficilement en essayant de chercher la moindre petite chose dans la pièce pour pouvoir attaquer Lewis mais rien à part du moisi et la poussière, j'étais vraiment coincé. Je cachais mes yeux avec mes mains en essayant de me forcer à dormir, je m'endormais très rapidement.

J'avais vraiment très mal dormi, j'étais tellement fatiguée, Lewis m'avais réveillé en cognant des casseroles l'une contre l'autre que cela me faisait mal à la tête en plus du bruit de la lumière.

- Debout là-dedans ! Disait-il en criant. Je sursautais en le regardant qui tenait une bière et ma drogue.

- Je ne pourrais pas avoir un chocolat ? Lui demandais-je doucement. Il ne répondit pas et me tendit la canette avec la drogue, je buvais rapidement avec l'oxycodone quand j'avais fini de prendre le tout. Il s'allongea à côté de moi et me pris contre lui fermement, on se retrouvait en position de la cuillère, je ne pouvais malheureusement pas me débattre. Il me caressa les cheveux en disant tout bas :

- J'ai l'impression que tu as la même odeur que ta mère, ton odeur est si pure. Disait-il en me serrant plus fort contre lui, il m'embrassa dans le cou à ce moment précis, je sentais mon cœur s'emballer, j'étais incapable de bouger d'un pouce. Il commençait à se frotter contre moi, je sentais son sexe qui commençait à être dur, mon cœur s'emballait encore plus.

- J'ai tellement envie de toi. Me disait-il dans mon oreille. Il se mit à califourchon sur moi en enlevant sa chemise, il arracha la robe que je portais en la déchirant, je me retrouvais en sous-vêtement maintenant, j'avais une de ses mains sur ma poitrine et l'autre sur mon vagin, il caressa mon vagin en me disant :

- J'ai vraiment envie de te monter comme un cheval de la même manière que ta mère à aimer. Disait-il en chuchotant. Je le regardais dans les yeux avec un regard de mépris. Il me donna une gifle tellement violente que ma mâchoire à craquer et ma lèvre pisser le sang, il rigola en disant :

- Ne me regarde jamais comme ça, tu sais quoi, j'ai envie de m'amuser un peu. Disait-il en me soulevant par le bras pour mettre debout, il m'emmena dans la salle ou j'étais cette nuit, j'étais encore en sous-vêtement. Il m'attacha au tuyau, je me sentais tellement faible que mes pieds ne touchais même pas le sol et mes bras me faisait mal. Il m'avait laissé là pendant des heures, quand il revenait, il avait une nouvelle tenue dans les mains, il me l'enfila difficilement, mais avec brutalité.

- J'ai un client pour toi, il te ramènera quand il aura fini avec toi. Disait-il en me détachant puis en me tenant fermement par le bras. J'étais vêtu d'une robe très provocante de couleur rose clair, Lewis donna à l'homme un pistolet, en échange l'homme lui donna un gros billet, l'homme me tirais par le bras jusqu'à l'extérieur de la maison, dehors, il faisait bon et nuit, je profitais de chaque seconde de bol d'air frais comme si c'étais le dernier malgré le pistolet pointé sur ma tempe, il me poussa dans sa voiture en m'attachant à l'appui-tête sur la banquette arrière, il démarra la voiture sans dire un mot, je n'avais aucune idée d'où on se dirigeait.

On arrivait sur un parking, il me mettait un mouchoir dans la bouche avec un scotch, il descendait de la voiture en la verrouillant, je voyais un groupe de personnes, je m'allongeais sur la banquette en voulant donner des coups pieds à la porte, mais mes pieds n'arrivais pas à la porte, la voiture était grosse et j'étais visiblement trop petite, je soupirais de désespoir. L'homme revenu et me fit descendre de la voiture par le bras fermement, je voyais qu'on était dans un motel, on rentra dans une chambre, il la refermait à clef derrière lui.

Je le regardais sans dire un mot, il s'approcha de moi et me poussa sur le lit, il m'embrassa avec la langue. Il était brun avec des yeux noirs et les cheveux un peu longs, il devait peser au moins 80 kg. Il m'enleva la robe rapidement, et il enleva ses vêtements, mais au même moment son téléphone se mit à sonner, il se leva en soupirant fortement. Il me mit un mouchoir dans la bouche avec du scotch, il décrocha en pointant l'arme sur mon visage pour que je ne bouge pas. Il parlait en espagnole et je ne comprenais aucun mot. 

Quand il raccrocha, je voyais qu'il était très énervé, il m'ordonna de me rhabiller, il s'habilla à son tour puis nous quittons le motel, il me ramena dans la maison au près de Lewis, je fus accueilli par la violence de Lewis qui me poussa dans la pièce noire avec de la bière et des comprimées d'oxycodone, je commençais à perdre la notion du temps, je n'avais pas mangé depuis je ne sais plus combien de temps, j'avalais tout ce qu'il m'avait donné, il avait laisser la lumière allumée, je voulais entendre leur conversation, mais je n'entendais rien à présent, je savais que c'étais une pièce très insonorisés, je m'allongeais sur le matelas en me sentant assez faible, je mettais mes mains sur mes yeux pour essayer de dormir malgré la puissante lumière accompagnée du bruit, je m'endormais en quelque minutes.

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