Chapitre 4: Changements... afin presque

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Je suis trop gentille, poste après seulement 2 jours, maach'Allah.

Merci à ceux qui votent et commentent, vous êtes ma motivation peu importe votre petit nombre, je vous love mes bébés d'amour ❤❤❤❤

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Amy, décembre 2004

- TU AURAIS DÛ MOURIR DANS LE VENTRE DE TA MERE. IMBÉCILE. A CHAQUE FOIS QUE MA MAISON EST SENS DESSUS DESSOUS C'EST CAUSE DE CE MAUDIT SANG QUI COULE DANS TES VEINES? SALE CHIENNE? ENFANT MAUDIT. TAY NAK DINA NOPAL NIEUP RAY LA AK SAMAY LOKHO NIEUP AM DIAM ( je vais te tuer de mes propre mains pour avoir la paix dans cette maison)

- ASTAGHFIRULLAH.

Tout le monde se tourne vers cette voix masculine qui avait tellement crié de stupeur que les murs avaient tremblé.

Devant la porte de la maison, se trouvait un homme, que je ne n'avais jamais vu, mais ses traits, pas besoin d'être devin pour savoir qui c'était.

Comme atteinte de trouble de la personnalité, grand-mère venait de passer de colère à joie, non sama mame mérité na sa place au cinéma.

- Idrissa, mon bébé. C'est bien toi, Alhamdoulillah, je pensais qu'il t'était arrivé malheur car je n'arrivais pas à te joindre depuis hier.

J'ai longtemps entendu parler de lui, le fils prodige, celui qui a pris l'oiseau à la recherche de la richesse, la fierté de sa maman, le fils chéri, le benjamin de ma grand-mère.

Elle s'approche de lui et tente de le prendre dans les bras, mais ce derniers se décale, le visage noir, il regarde tout le monde présent dans le salon avant de poser les yeux sur moi.

A part ma tante, personne dans cette famille ne m'avait regarder avec des yeux compatissant. Ses yeux avaient viré du blanc à la couleur du sang.

- Yaye, que viens tu de dire à l'instant.

- C'est que je m'inquiétais pour toi, kham nga ni douma la nianal lolou.

- Je te demande ce que j'ai entendu en entrant, yaye.

- ah dome rien du tout.

- Rien tu dis, yaye tu viens de menacer de mort ta propre petite fille, le sang de ton sang, l'unique enfant de ton défunt fils, Allah y rahmo. Quand j'ai eu vent de la situation à la maison, je n'ai pas voulu y croire mais il a fallu que je tombe sur cette scène juste au moment de fouler la porte de la maison.

- Ce n'est pas ce que tu crois, mon fils, cet enfant... elle...

- Elle, rien maman. Depuis combien de temps cela dure-t-il?

Grand-mère me lance un regard méprisant, de toute façon j'y suis habitué alors ce n'est pas aujourd'hui que son regard me dérangera. Si elle pouvait, elle allait mettre de suite ses menaces à exécution, je dois vraiment faire attention ces temps ci si je veux vivre longtemps.

- Tu vois de quoi je parle. A peine poses tu un pied qu'elle sème la zizanie entre nous. cette enfant est maudite, c'est la fille de satan. Je regrette le jour ou ta mère rejoint cette famille, cette sorcière est la cause de tous nos problèmes.

- MERE. Non mais je rêve. Je fais un cauchemard, c'est sûr. La femme douce et aimante qui m'a mise au monde ne peut pas soortir ces absurdités de sa bouche.

- Elle m'a volé mon fils. A cause d'elle il est mort et nous à apporter cette chose, avec ses yeux, regarde là bien, c'est l 'enfant du diable, elle ne peut en aucun cas être ma descendance.

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