Chapitre 5: un petit moment de répit

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HELLO MES BEBES COMMENT ALLEZ-VOUS? CES DERNIERS JOURS LE CORPS DE TATY DIAGASS EST HOT DEH.

MAIS JE TIENS A PREVENIR LES CRITIQUES LITTÉRAIRES ET AUX PERFECTIONNISTES  QUI PASSERONT PAR LA,  SI JAMAIS VOUS LISEZ JUSQU'A CE NIVEAU? PEU IMPORTE VOTRE NATIONALITE, SACHEZ QUE JE NE SUIS PAS UNE DESCENDANTE DE MOLIERE, NI DE SENGHOR. 

JE NE MAITRISE PAS LA LANGUE FRANCAISE A LA PERFECTION, J'ETAIS TOUJOURS ABONNEE ABSENTE AUX COURS ET QUE JE N'AI NI LA PLUME DE OUMDIDI, NI CELLE DE PLUMENEUVE OU BIEN DE TIGRAISH.

J'ECRIS CAR C'EST UNE PASSION, J'ECRIS CAR J'AIME CELA, J'ECRIS CAR IL S'EN PASSE DANS MA TETE.

JE PRENDS LE RISQUE DE ME FAIRE CRITIQUER EN POSTANT MES TORCHONS MAIS JE PRENDS QUAND MEME LE RISQUE CAR C'EST EN FORGEANT QUE L'ON DEVIENT FORGERON.

POUR CEUX QUI AIME MON ESPRIT DEGEANTÉ BONNE LECTURE, POUR CEUX QUI TROUVENT QUE MON OEUVRE NE MERITE PAS D'ETOILE QUE FAITES VOUS TOUJOURS LA?

JE DIS ÇA, JE DIS RIEN. PERSONNE NE M'A ENCORE CRITIQUE MAIS J'AIME JUSTE QUE LES CHOSES SOIENT CLAIRES.

PS: J'ATTENDS TOUJOURS MON MONO @BocarSarr8 et Bbnoire. JE SUIS ENRHUMEE ET J'AI BESOIN D'ENERGISANT

BONNE LECTURE

TATA LOVES YOU

JE VAIS DE CE PAS LIRE JUSTICE PASSIONNELLE 😘😘😘

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Maïmouna, Décembre 2002

Mon entrejambe est en feu, wouy sama Ndèye, appelez-moi le18, ndakh gaur diarna li.

- Ça fait mal?

- Laisse-moi descendre d'ici pour récupérer un peignoir et te l'enfoncer, tu sauras si ça fait mal ou pas.

- Laisse-toi aller, tu verras que ça ne fera bientôt plus mal, afin moins qu'en ce moment.

J'avais atrocement mal et lui me disait de me laisser aller. Je n'avais qu'une seule envie, de le trucider.

Mais d'un côté, même si l'on me disait que boire mon urine me soulagerait, je l'aurai fait, alors je décide de lui faire confiance et de laisser glisser mon corps.

Au début, alors qu'il se mouvait doucement en moi, je ne ressentais rien du tout, c'était vraiment bizarre et je me demandais ce que les gens trouvaient à cet acte.

Quand il prit mon téton droit et bougea lentement, mais sûrement, je sentis une légère électrification à travers mon corps entier, qui rendit la douleur agréable, même si elle fut courte.

- Pardonne-moi bébé mais je ne peux plus me retenir.

Je n'avais jusque-là pas compris, mais quand il accéléra le rythme, je me suis mise à lui taper le torse, je l'ai supplié d'arrêter mais rien, il était comme possédé et c'est seulement après avoir émis un gémissement digne d'un animal et s'être vider en moi qu'il daigne enfin se coucher à côté de moi et me prendre dans ses bras.

- Je sais que je me répète, mais tu fais de moi l'homme le plus heureux sur terre. Même si tu ne m'avais pas offert ton innocence, je t'aurais aimé de la même façon car je ne suis pas saint pour vouloir une sainte. Je t'aime ma femme.

Je ne me suis pas préservé pour m'en glorifier, mais par crainte d'Allah, mais en ce moment même, sachant que mon homme est fier de moi, même s'il ne le dit pas, l'attente en valait la peine.

Un bisou sur mon front, il me couvre avant de s'habiller et quitter la chambre, surement pour aller informer sa mère, comme le veut la coutume, même si je suis certaine que toute la maisonnée et le quartier même, a entendu mon cri.

TalionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant