𝐌𝐫.𝐊𝐢𝐦
𝐌𝐫.𝐊𝐢𝐦 ; Qui aurait crus que l'hôpital serait un lieu de rencontre entre ces deux individus,
Tracya, une adolescente extravertie assez bad bitch afro-latina avec une enfance trouble qui a peur du vrai amour et qui se sens constammen...
Je te laisserai des mots, en dessous de ta porte. En dessous de la lune qui chante,tout près de la place où tes pieds passent .
.....Adriana.
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Ramasse-moi, Quand tu voudras.
Affronter ces réalités.
Debout devant la porte de la maison Aujourd'hui la neige n'es pas au rendez vous, heuresement.
- Tu devrais toquer ! dit Byron afficher sur mon écran de téléphone.
Ça a l'air pourtant très facile, mais c'est plus facile de dire qu'à faire.
- Imagine qu'il y a personne ? Je pourrais venir chez toi ?
Il hoche positivement la tête puis prend la parole,
- Oe y'a pas de problème mais tu dois faire face à tes problèmes Tracy, c'est tes parents avant tout tu peux pas les ignorer toute ta vie.
Je soupire en hochant la tête,
- T'a sûrement raison Byron, je vais te laisser que Dieu te garde.
- Ok pas de soucis on s'attrape !
Puis il raccroche me laissant seule devant mon téléphone affichant l'heure en face de la porte.
Je souffle un bon coup, et toque à la porte.
J'entends...rien.
Une seconde ? Deux ? Trois, quatre ?
Je me prépare à toquer une nouvelle fois mais au même moment la porte s'ouvre en grand, laissant place à mon frère.
Je suis choquée de le voir en personne devant moi ça fait bizzare, j'ai l'impression d'être partie pendant des mois.
Il se tient là devant moi, lui aussi choqué de ma présence il lâche la poignée de porte puis s'approche de moi et m'examine.
Il me détaille de la tête au pied son regard se décide à rencontrer le mien puis vient me serrer dans ces bras.
- Tu est vivante, merci mon Dieu.
Il a dit ça avec tellement de soulagement que ça m'a fait lâcher une larme puis deux j'ai pleuer dans ces bras.
Je le serre en retour heureuse de le revoir. Il s'éloigne légèrement de moi les yeux humide ce qui me choque Samuel ne montre jamais ces émotions qu'il soit triste ou en colère.
- Tu pleure Sam ? Dis-je en posant ma main sur sa joue.
À ce geste il sourit grandement en hochant négativement la tête,
- Je suis heureux c'est tout.
Il vient essuyer mes larmes et m'invite à rentrer dans la maison, entrant de celle-ci j'ai peur.
