sois plus que mon amis

Chapitre 13

PDV de Lou

Sur le chemin mon cœur tambourinais dans ma poitrine, je suis l'homme le plus heureux, le parfum d'Alix remplis mes poumons, et sa chaleur me fait me sentir en sécurité, je ne sais même pas s'il rentre chez lui ou s'il me ramène chez moi mais je m'en fiche royalement tant que je peu rester dans ses bras encore un moment.

Quand je l'entends finalement ouvrir une porte, je reconnais sa maison et un sourire apparait sur mon visage, je vais dormir avec Alix, non avec mon copain. Il monte les escaliers, toujours avec moi sur le dos, quand tout d'un coup je le sent s'arrêter, puis parler avec ce que je suppose être Loane.

Une fois dans sa chambre il me donne un pantalon et un pull pour dormir, je me change donc avant de m'affaler dans son lit, quand il revient à son tour il porte le même pantalon qu'il ma donner mais en noir, ainsi qu'un sweat gris.

Il s'allonge à son tour et je viens me coller à lui sous prétexte qu'il fait froid, ce qui est bien évidemment faux vu que le chauffage est au maximum, cela n'a pas l'air de le déranger, au contraire.

Nous nous endormons donc dans les bras l'un de l'autre, le lendemain matin à mon réveil je mis du temps avant de me souvenirs de tout, puis pleins de question me vinrent à l'esprit ; et si il m'avais embrasser seulement à cause de l'alcool, et s'il regrettait, et s'il avait juste pitié de moi... des centaines de question faisaient leurs apparition dans ma tête mais elles disparurent aussitôt qu'Alix c'était réveiller, et qu'il m'avais serrer très fort contre lui, comme une peluche dont on ne veux plus se séparer.

Au bout d'un moment comme ça, il se redressa, me fit un bisou sur le front et descendit en me disant qu'il allait chercher de quoi manger. Le pull que j'avais était imprégné de son odeur ainsi que son lit, alors je me blottis contre ses draps, la tête enfoui dans le pull.

- Tu te cache ou tu es mort de faim ? me demande t-il en rigolant

- J'ai froid et très très faim ! répondis-je un grand sourire sur le visage

C'est sur ces paroles que nous déjeunons tout les deux sur son lit, vers onze heure trente sa mère toqua à la porte nous faisant tout les deux sursauté, elle entra et nous demanda si nous mangions ici se midi ce à quoi Alix à dit non.

Lorsqu'elle repartit, elle emmena avec elle le plateau déjeuné que nous avions. Après son passage un silence éclata mais vient se briser lorsqu'il me demanda :

- Mais du coup, maintenant on est ensemble ? genre comme un couple ?

- C'est ce que tu voudrais ? lui demandais-je anxieux

Comme simple réponse il m'embrassa de nouveaux avant de se blottir dans mes bras, sa tête dans mon cou il me dit timidement ''oui''. Je me mis alors à sourire comme un enfant. Quand ce fut finalement midi nous avons décidé de sortir pour manger, notre groupe d'amis nous avaient proposé de sortir manger une pizza.

Alix ma donc prêté un autre pantalon ainsi qu'un autre pull, puis nous avons fait le chemin jusqu'à la pizzeria du village. En arrivant à plus d'une centaine de mètre, Alix se stoppa et me demanda doucement si nous allions le dire à nos amis, au début je ne compris pas tout de suite. Puis sa devient une évidence, je lui attrapa la main et entrelaça nos doigts avant de lui demander : '' ca te dérange si ça reste entre nous pour le moment, je ne suis pas près à la dire à tout le monde'' son visage se ferma un peu mais il me fit un sourire en me disant que j'avais tout le temps qu'il me fallait.

En arrivant nous nous installons côte à côte à table, un serveur vient alors prendre nos commande et chacun notre tour nous avons choisit, le repas avançais, nos pizza était arriver et quasiment finis, la main d'Alix était posé sur son genoux, d'un coups, j'eu une folle envie de l'attraper et de la garder avec moi, alors je décala ma main tout doucement jusqu'à sentir la chaleur de sa paume, il sursauta légèrement au contacte de ma peau froide mais pris quand même ma main dans la sienne.

La fin du repas se passa comme ça et lorsque nous devions nous levez afin de partir, une grande tristesse m'envahi car je ne pourrais plus tenir sa main. ce garçon avait réussi à devenir une addiction, mon addiction, je ne pouvais plus me passer de lui, de sa main dans la mienne, de sa tête sur mon épaule, de l'odeur de son parfum sur son pull, de lui.

Après avoir payer tout le monde passa au toilette, Alix et moi sommes les premiers à sortir, en voyant qu'aucuns de nos amis n'étaient aux alentours, j'en profita pour attraper son visage et pour l'embrasser. Ses joues devinrent écarlate et lorsque Elie et Dana sortirent des toilettes elles lui posèrent la même question : ça va ? Ta chaud ? Il leurs répéta plusieurs fois que tout allait bien, puis nous avons finalement pris le chemin jusqu'à chez Thomas afin de se poser au chaud.

En arrivant chez Thomas, nous nous essayons tous sur les fauteuils et canapé, c'est alors que Dana et Josh on eu la pire idée de leurs vie, regarder le nouveau film d'horreur, mon visage se décomposa et Alix tourna aussitôt la tête vers moi, connaissant ma phobie pour ce genre de film, malheureusement tout le monde était partant pour ce film, alors lorsque nous nous sommes installé, Alix à carrément viré Elie qui était à coté de moi afin de se mettre à sa place.

Résultat nous étions à côté, du côté d'Alix il y avait Elie puis Dana et pour finir Josh et Thomas, vu que personne n'était de mon côté Alix se permis me prendre la main pour me rassurer et je profita de se moment pour poser ma tête sur son épaule, afin d'être rassurer.

Le film fut de la torture simple et efficace, j'ai passé la quasi-totalité du film la tête enfoui dans le cou de mon petit ami ainsi que la main agrippé à sa main. à la fin du film tout le monde se leva et rentra chez sois, Alix et Moi étions les derniers à partir.

Sur le chemin il me demanda si tout allais bien, après tout je ne disais presque rien, et j'étais devenue blanc comme un linge. Il s'arrêta face à moi et me serra contre lui, c'est alors que tout mon stresse parti, je tremblais encore certes mais j'avais moins peur.

Au lieu de me lâcher et de reprendre la route comme tout a l'heure, il m'attrapa par la taille et me porta comme un enfant tout le long du trajet, bien évidemment je ne refusa pas, et me laissa faire.