CHAPITRE - 18

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Pourquoi quand on touche au bonheur, le malheur revient au galop ?

PDV KATSUKI -

Toutes ces nouvelles sensations, je crois que j'ai jamais été accro à une personne, j'ai tout le temps besoin de l'avoir prêt de moi, de le sentir.

Alors quand hier, il s'est mis à nu, dévoilant son torse, il était si beau, je ne pensais pas qu'il était aussi bien bâti !

J'ai vu ses cicatrices, j'y ai fait vaguement attention.

Oui bon elles sont là, et alors ?

Sa peau est toute douce, en étant honnête, ça me tuait de pas pouvoir le toucher.

Ça fait déjà plusieurs semaines qu'on est ensembles, et je l'ai pas touché une seule fois sous ses habitudes.

Je me donne des claques mentales pour ne pas céder à mes tentations les plus noires quand il dormait à poing fermé à côté de moi.

Alors quand ce matin, quand il m'a tendu sa main pour prendre une douche ensemble, et que cette douche a fini en gâterie, j'étais putain d'heureux, parce que ça prouve qu'il a franchi un cap, et qu 'il me fait suffisamment confiance.

Bon c'est vrai, ma queue devenait vraiment casse couille, je bandais pour un rien, un baiser, une caresse suffisait à m'enflammer.

C'est le seul avec qui je prends du temps.

Les autres ? Oh bah je disais oui, et en général je baisais avec elles les jours suivants.

Ouais, j'étais un charo.

Je suis réellement un con mais bon, si vraiment ça dérangerait ces gonzesses, elles ne se seraient pas sur moi comme ça.

Bref, avec Deku on a passé la journée dans la chambre,

Bordel je suis devenu un putain de faible en compagnie de ce brocolis de merde !

On avait la dalle alors on est descendu en cuisine ce préparer un plat rapide et on l'a mangé sur place.

A vrai dire j'avais remarqué qu'on n'avait pas été dérangé, et quand plus on n'avait pas vu Shota ni même Dabi.

Mais en vrai, on est dimanche et le dimanche on glande.

Alors ça nous a tous les deux surprise quand on a traversé la pièce, pour aller prendre à boire, qu'on a vu le corps de Dabi effondré au sol, avec une mare de sang.

Deku s'est jeté sur son corps alors que moi je regardais les alentours au cas où.

Izuku - Dabi ! Dabi !

Il lui touche le pou, puis sans qu'aucune réponse nous parvienne, on le retourne et grimace quand on aperçoit la blessure par balle dans sa cuisse.

Katsuki - Deku ! Faut lui enlever la balle ! Faut profiter qu'il soit inconscient !

Il me regarde comme si c'était l'idée du siècle, puis se lève, et revient 5 minutes plus tard avec une trousse de secours.

Pendant qu'il était parti, j'avais arraché le tissu du pantalon avec un couteau.

Deku déballe le désinfectant, et en vers sur la blessure, puis prend une pince et se penche.

Izuku - Katchan, va voir si les autres vont bien.

Ouais c'est pas con aussi.

J'hoche la tête et cours, j'allais directement à la chambre que je connais.

𝕂𝕒𝕥𝕤𝕦𝕕𝕖𝕜𝕦 • É𝚌𝚘𝚕𝚎 𝚍'𝚊𝚜𝚜𝚊𝚜𝚜𝚒𝚗𝚜Où les histoires vivent. Découvrez maintenant