CHAPITRE - 40

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PDV IZUKU-

Je me réveille, m'asseyant.

Je bâille frottant mes yeux avec mes doigts.

Je soupire, mes yeux balaye la pièce, qui est vide.

Mais je souris, je suis libre maintenant, je fais semblant depuis toutes ces années.

C'est épuisant n'empêche.

Je me lève, allant dans ma salle de bain prenant une bonne douche bien brûlante.

Je suis arrivé y'a plusieurs jours, il est 14 heures et mes amis ne vont pas tarder à arriver.

Enfin amis, c'est un bien grand mot, c'est comme l'autre, aucun sentiment pour ces personnes.

La vidéo a fui, avec la photo de son corps. Et ils veulent avoir des explications.

Après m'être lavé et sécheur, je m'habille décontracté et sort.

Je descends au rez-de-chaussée me posant sur le canapé, accompagné d'un café noir, j'attends leur venue.

Qui ne tarde pas.

Sa toque, je pose ma tasse sur la table basse et marche en direction de la porte.

Je les ouvre mais aucune embrassade.

Je me décale les dû entrer, ils constatent que l'appartement est vide.

Eijiro - Dit moi que c'est une blague ?

Les yeux écarquillés,

Horrifier de voir l'appartement vide.

Denki - Ta pas pu faire ça.

Je souris. Ils frontent les sourcils.

Izuku - Si, je l'ai bien fait.

Ils grimacent.

Eijiro - Alors tout ce qui c'est passé depuis toutes ces années c'était du mytho ? Une passe ? Un amusement ?

Izuku - C'était difficile mais oui.

Ils prennent une mine dégoûtée.

Denki - Je sais pas ce qui nous retient de te tuer là maintenant.

Les poings serrés.

Je les regarde de haut.

Izuku - Ma supériorité ? Même si vous êtes deux, je vous tuerai avec une cuillère pour seul ustensile.

Eijiro - Dans ce cas, sur un vu, sur un parlé. C'est la dernière fois que tu nous vois.

Izuku - Bon débarras dans ce cas.

Leurs yeux changent de nuance.

Denki - Va te faire foutre.

Partant en premier.

Eijiro - Finalement, les autres n'avaient peut-être pas tort, un monstre dénué d'émotion. Magnifique comédie, tu devrais t'inscrire en tant qu'acteur.

Izuku - Belle idée, j'y penserais.

Je le connais assez pour savoir qu'il a envie de me tuer.

Après un duel de regard, il quitte enfin l'appartement.

Je secoue la tête, plus qu'un.

Soudain mon téléphone sonne.

Quel timing parfait.

Izuku - Dabi.

« Touya - Midoriya.

Je souris.

𝕂𝕒𝕥𝕤𝕦𝕕𝕖𝕜𝕦 • É𝚌𝚘𝚕𝚎 𝚍'𝚊𝚜𝚜𝚊𝚜𝚜𝚒𝚗𝚜Où les histoires vivent. Découvrez maintenant