By Jyjanah feat Kenzo_girl
© Éphémère Production
Jelani.
Farah - Jé je peux dessiner dessus ?
- Je vais te baiser ta mère tu crois que c'est une feuille à dessin ?
Papa - Eh !
- Quoi ?
Papa - Tu me dis quoi en plus ? C'est moi je vais te baiser ta mère si tu continue à la filer comme ça à ma fille.
Elle me regarde en fessant les yeux doux.
Farah - Je suis désolée.
- Casse toi.
Elle s'en va directement sans rien dire.
J'étais au salon bloquer avec ma jambe à la con, je pouvais même pas sortir solo W'Allah je vais tout niquer. Et l'autre qui débarque alors que c'était pas sa semaine, carrément c'est en parlant avec la petite de Billy que j'ai capter que c'était chaud un peu, j'ai vu sa réaction et c'était pas correct mais je comprends de ouf c'est pas tout le monde qui applique des règles de traditions à la con. En tout cas bon délire la petite, elle rougis bêtement mais sinon bon délire elle a son petit charme mais elle nique sa en sortant avec l'autre Billy, c'est un bon mais tranquille.
Sa sonne à la porte, tata Safiya va ouvrir la porte et j'entends un sale bruit derrière la porte.
... - Ma belle-fille chérie !
- Putain. Dis-je en chuchotant.
C'était la famille du vieux Moussa, ils étaient pas beaucoup mais ils font un tas de bruits comme ci ils étalent 10.
Mon père était le seul mec de sa fratrie , il y avait que des darz après lui .
Je les vois arriver vers le salon , j'essaye de prendre mes béquilles mais j'arrivais pas .
Mariam - Oh , tu es là toi ?
Elle me regarde avec un petit sourire au coin .
Mariam - Avec des béquilles en plus .
Elles s'assoient tous .
Fatih - Tu nous dis pas bonjour ?
Tata Safiya - Je vous sers à boire ?
Mariam - Mais non ma chérie, Jelani peut le faire.
- T'es aveugle et conne toi je vois.
Tata Safiya - Jelani !
- Commence même pas à me crier dessus Safiya W'Allah ne commences même pas.
Fatih - Moussa ! Moussa !
Mon père débarque et nous regarde.
Papa - Vous êtes ici depuis quand ?
Mariam - On viens à peine de rentrer mais ton fils joue le p'tit insolant.
Papa - Quoi encore ?
Au même moment Farah arrive aussi au salon.
Mariam - Je lui demande de nous chercher à boire mais il répond que j'étais aveugle et conne.
Fatih - W'Allah si tu sais pas éduquer tes enfants correctement envoie le au bled.
Papa - Tu crois que c'est ta camarade ?
Je ne réponds pas et le regarde droit dans les yeux.
Papa - Je te parle Jelani.
Farah - Je vais vous servir à boire.
Elle s'en va vers la cuisine.
- Ne me chauffe pas le crâne pour l'amour de Dieu occupe toi de tes deux mongoles de sœurs et me casse pas la tête.
Fatih - Eh ! Qui tu appelles mongole ? Tu veux que je te redresse ici correctement ? Quoi ? C'est les poils qui pousse dans ton intimité qui te donne le droit de nous parler comme ci on était tes égales ? Dit-elle en se levant.
Je la regarde en croisant les bras et en regardant son spectacle.
Mariam - Je sais même pas pourquoi tu te fatigues avec ce petit, c'est le comportement de sa mère.
Tata Safiya - Mariam s'il te plaît.
Mariam - Ah non non ce petit est trop insolant, il dégage le même truc que sa mère ! W'Allah Moussa je sais même pas ce que tu es parti faire avec une femme comme elle.
Farah - Tenez vos boissons.
Elle dépose le plateau sur la table.
Fatih - Prends au moins exemple sur ta petite sœur , tu devrais prendre exemple sur elle au lieu de jouer l'enfant insolant !
- Farah donne mes béquilles.
Mariam - Tu as du envoyer être mêler dans des histoires bizarres pour te retrouver avec une jambe en moins.
- Vous avez fini ?
Elle me passes mes béquilles.
- W'Allah depuis vous parler un tas, je confirme que vous êtes pas futés de comprendre les choses donc des mongoles, chaque fois qu'on se croise c'est pour venir cracher votre venin sur ma vie et vous ? Vous avez pas une vie à vous même ? W'Allah vous êtes des galères de ouf et puis toi !
Je regarde mon père.
- Tu fais le boss devant tes femmes mais W'Allah t'es un pas un homme carré ? Tu joues le dure alors que tu te fais malmener par tes deux idi-...
Je n'ai pas eu le temps de comprendre mais j'ai quand même compris, je sens ma tête taper sur la table basse et le crie aigu de Farah. Il venait de me pousser tellement fort que j'ai perdu l'équilibre .
Papa - C'est à moi que tu parles comme ça ?
Il prends les béquilles que j'avais dans les mains.
Papa - Maintenant relève toi !
J'étais sonné un peu mais j'essaye de me relever mais j'y arrive pas du tout c'était limite impossible.
Mariam - Tu vois ? Quand on parle trop on se retrouve à terre.
Farah viens à côté de moi et essaye de me relever.
Farah - Ça va aller. Dit-elle en chuchotant dans mon oreille.
Je lâche un petit rire.
- C'est un ouf. Dis-je en chuchotant.