J'ai un père super riche (1/2)[Terminé]

Chapitre 108

La porte de la villa s'ouvrait après avoir sonné plusieurs fois et Yura apparaissait dans l'encadrement de la porte avec un sourire glamour. Ethan fronçait légèrement les sourcils et demandait rapidement : "Qu'est-ce-qui se passe ? Pourquoi tu es si secrète et... où est-ce-qu'on est ?"

En écoutant toutes ses questions, Yura semblait amusée. Elle répondait en souriant : "C'est chez moi. Comment trouves-tu la maison ?"

Ethan était un peu plus surpris. Il ne s'attendait pas à ce que Yura habite aussi dans la résidence Stratyer. Cela dit, il ne lui avait jamais posé la question non plus, et savait déjà qu'elle venait d'une bonne famille. Cette villa était dans la catégorie C, et bien qu'elle ne soit pas aussi impressionnante que celles de catégories B, elle était tout de même l'une des meilleures villas de Buckeye. Ethan était plutôt bien au fait des prix d'une villa comme celle-la et savait qu'il était déjà question de plusieurs millions. Il avait toujours supposé que Yura était juste au dessus de la moyenne mais ne s'attendait pas à ce que sa famille soit si riche. Il jetait un coup d'œil curieux vers l'entrée des garages pour y voir garées une Lexus LS et une Porsche Cayenne. Effectivement les actifs de la famille Rorberts semblaient bien se porté et étaient déjà au minimum 5 fois supérieurs aux actifs des familles normales. Ethan riait légèrement et répondait simplement : "Elle est très belle." Alors que Yura l'invitait à entrer, il constatait que bien que la villa avait l'air ordinaire au sein de cette résidence, sa décoration intérieure était très élégante. C'était épuré et simple, mais il y avait une vraie noblesse dans cette simplicité. Et c'était bien plus agréable à l'œil que de grandes décorations en or et en argent. L'attention d'Ethan se tournait rapidement vers les nombreux tableaux modernes accrochés aux murs.

Yura voyait qu'Ethan admirait la décoration avec curiosité et expliquait : "Mon père aime l'art."

Vraisemblablement, l'atmosphère élégante de cette maison pleine de vibrations artistiques provenait du père de Yura. Ethan la suivait à l'intérieur de la villa, jusqu'à arrivé dans le salon. Il y avait deux hommes qui discutaient sur un grand sofa. L'atmosphère semblait chaleureuse et leur conversation était plutôt joyeuse. Il ne connaissait aucune des deux personne. L'homme le plus âgé avait dans la 50ène et avait des traits physiques communs avec Yura, Ethan en déduisait rapidement qu'il s'agissait de son père. Le deuxième homme avait un peu moins de 30 ans et portait une expression indifférente. Lorsqu'ils sont entrés dans le salon, le plus jeune des hommes lui jetait un léger coup d'œil avant de détourner immédiatement le regard.

Le père de Yura, lui, se levait pour demander à sa fille avec étonnement : "Chérie, tu as amené un ami ?"

Yura hochait la tête pour dire : "Je te présente Ethan Humphrey. Je t'ai déjà parler de lui en fait. Tu te souviens quand j'avais été agressée avec Jennifer dans un restaurant ? Et que quelqu'un nous avaient défendues mais avait été battu ? C'était Ethan avec deux de ses amis. Il est également étudiant à l'université de Buckeye." Elle avait dit ça avec une certaine fierté dans les yeux. Elle avait déjà parler d'Ethan à ses parents car elle était vraiment reconnaissante envers lui d'être intervenu ce jour-là. À ses yeux, il lui avait sauvé la vie, à elle, mais aussi à Jennifer. Elle savait également qu'Ethan était tristement célèbre à l'université et elle s'était toujours efforcée de l'aider à restauré sa réputation. Elle était en ce moment pleine d'attente envers son père en réalité. À la façon dont elle avait mentionné son sauvetage à plusieurs reprises et maintenant qu'elle le lui présentait, peut-être que son père pouvait faire quelque chose pour Ethan. Ça n'avait pas besoin d'être beaucoup, car l'opportunité d'un stage dans son entreprise semblait déjà bénéfique pour Ethan. Cependant, son cœur rempli d'anticipation s'était transformé en tas de cendres à cause de la réaction de son père. Il ne montrait pas le moindre enthousiasme à son égard et semblait même un peu froid.