Amoureuse Du Désert

Chapitre 22

Je déambule dans le couloir à la recherche de Jalal et la famille royale, le portier m'a demander de demander à une servante. Cette dernière m'a dit qu'ils sont dans la salle à manger. Je m'y rends avec l'envie de voir mon futur mari, alors que je me dirige vers cette dernière je suis bousculé par une femme noire.

Mais que fait cette négresse ici dans ce palais ? Que je sache est-ce une employée ?

Alors que ma bonne humeur se transforme en mauvaise humeur à cause d'elle.  Elle me regarde malgré qu'elle est prononcé des excuses je lève la main avec pour objectif la corriger. Mais alors que j'allais enfin atteindre mon objectif maman se fait arrêter par Jalal en personne. Mais que fait-il ici? Je lui demande qu'est-ce qui se passe pourquoi a-t-il fait ça ? Il me regarde dans l'air mauvais je ne comprends pas vraiment ce qu'il se passe à ce moment alors qu'il retient toujours ma main il se place devant cette négresse.

Il relâche ma main brutalement et me dit :

— N'essaie même pas de poser la main sur elle.

— Et pourquoi donc que je sache elle m'a bousculé ne pouvait-elle pas faire attention ?

— D'après ce que j'ai entendu elle s'est excusée, tu n'as pas le droit de lever la main sur elle et toutes les personnes qui composent ce palais et qui ils sont présents je te rappelle.

— Jalal qu'est-ce qui te prend de prendre la part de cette moins que rien ?

— Je tiens à t'informé qu'elle n'est pas une moins que rien et que je ne te permets pas de lui parler de la sorte.

— Et pourquoi donc que je sache ce n'est qu'une simple...

—Elle n'est pas n'importe qui elle est la mère de mai futurs enfants, me révèle le Cheikh.

— QUOI? EUH...COMMENT ÇA ? J'AI... MAL ENTENDUE...

— Non tu as très bien entendue, m'assure-t-il.

Je vois la reine et le reste de la famille arriver.

— Non j'aime mal entendue, je me mets à fixer son ventre qui est au passage un peu rebondit.

Je ne sais plus quoi penser ou faire. Je n'arrive pas à y croire. Je suis blessée, mon futur époux à osé mettre enceinte une autre femme.

— NON JALAL TU N'AS PAS OSÉ, TU NE M'AURAIS PAS TRAHI...

Il lui tient la main.

— Leïla je te prierai de quitter les lieux...

Il reste calme en me parlant.

— Jalal JE T'INTERDIS DE ME DIRE ÇA, COMMENT AS-TU PÛ METTRE ENCEINTES CETTE CHOSE ?

— LEÏLA ! s'exclame la reine.

— Je t'interdis de me traiter de chose, je n'en suis pas une, intervient la concernée.

— Mais que se passe-t-il ? demande la reine

— VOUS LE SAVIEZ ? COMMENT AVEZ-VOUS PÛ ME TRAHIR DE LA SORTE ?

Je m'adresse à cette femme à qui j'avais donné ma confiance.

Elle s'avance vers moi en dépassant son fils.

—Ma chérie, arrête de te donner en spectacle s'il te...

Je recule de deux pas, je ne veux plus qu'elle me touche.

—Ne...ne m'approchez pas, je ne vous crois plus, vous...

— Leïla je ne te permets pas de réagir ainsi avec ma mère, tranche Jalal.

Je repose mon attention sur lui.