Partie XXIV. Un peu d'espoir

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Moi. Tu crois plus en nous ?
Eymen. Il y'a jamais eu de NOUS! Il y'avait toi et moi, et maintenant il n'y a plus rien
Moi. Je tiens à toi eymen
Eymen. Ah ouais?
Moi. Ouais
Eymen. Ela je tiens plus a toi c'est triste pour toi mais c'est vrai
Moi. Je pensais que tu m'aimais
Eymen. Tu m'as emmené au bout tu comprends pas?
Moi. Eymen je t'aime, birakma beni
Eymen. tu l'as compris vraiment trop tard, c'est fini maintenant

Je m'assois sur le canapé. Je ne voulais pas le quitter mais vraiment pas.

Eymen. Moi ça me fais pas rire
Moi. Moi non plus
Eymen. Je commence a m'énerver Ela!
Moi. Tu vas faire quoi si je pars pas.

Il me prend par le bras et m'emmène jusqu'à la porte et enfaite non il m'emmène dans sa voiture. Je monte avec lui, je commençais a m'inquiéter jusqu'à ce que je reconnaisse la route, c'était la route pour aller chez moi.

Moi. Arrêt toi et laisse moi ici
Eymen. ...
Moi. T'es sourd??
Eymen. Je t'emmène chez ton père
Moi. J'irais toute seule!
Eymen. Je dois lui faire comprendre quelque chose à ton père.
Moi. Pourquoi tu passes par mon père?
Eymen. Parce que tu comprends pas

On arrive devant la maison, il me prend par la main et monte avec moi jusqu'en haut.
Il toque, mon père ouvre la porte et Eymen me jet comme une merde.

Eymen. Ben anlatamiyom buna! Sen anlat
Mon père. Oglum ne oluyo?
Eymen. Bir daha evime gelmesin!

Mon père essayait de garder son sang froid, en le connaissant il lui aurait foutu deux claques.

Mon père. Sakin ol oglum

Eymen retourne sa veste et il part. Mon père ferme la porte, il ne me regarde même pas, j'étais vraiment mal.

Je ressors aussitôt.

Mon père. NEREYE?!
Moi. J'arrive baba

Je cours en bas, Eymen était déjà partit.
Je devais faire quoi accepter le divorce et de quitter celui que j'aime. Je faisais des efforts même beaucoup je voulais lui prouver le contraire de ce qu'il pensait.
Je l'ai accepté avec ses défauts, j'étais prête à l'attendre jusqu'à 2 heure 3 heure du matin parce qu'il n'était pas la, j'ai été sa femme parce qu'il le désirer, j'ai oublié Vadi parce qu'il m'aimait... Et enfaite tout ça pour rien.

Je remonte en haut, je ferme la porte tout doucement. Mon père se pointe devant moi.
Il me fait signe, cela veut tout de même dire que je dois le suivre, j'obéis. Il va a la cuisine et se pose, je fais de même.

Mon père. Anlat
Moi. Baba lutfen ama lutfen israr etme!
Mon père. Kizim ne oluyo? Bu cocuk neden boyle saygisiz oldu?
Moi. Baba baska bir gun konusalim
Mon père. Iyi tamam

Je vais dans ma chambre et je reçois un appel de Selin, elle me demande de l'accompagner jusqu'à l'école de son enfant, je ne refuse pas et je sors prendre l'air un petit coup.

CHRONIQUE de Ela Où les histoires vivent. Découvrez maintenant