Yagiz: arrête Abi (grand frère)
Son frère: Yagiz putain mais comment tu peux devenir comme ça?!! Tu pense pas à ce que les gens vont dire ?!!
Yagiz: mais tu me parle de quoi qu'est-ce que je m'en fous de ce que les gens pensent.
Laissez moi vivre ma vie putain!
Son frère: iyi defol git! Hadi kapi orda (bah vas te faire foutre la porte elle est la bas)
Seyfetin: Sukru (le frère a Yagiz) assieds toi calme toi et vous aussi Yagiz Ela
Sukru: Eniste sen dur (beau frère s'il te plaît arrête )
Seyfetin: tu peux virer personne de chez moi
Sukru: pas de problème alors tu iras dire la même chose à ton beau père et ta belle mère
Seyfetin: t'inquiète pas pour çaSeyfetin et le petit frère ont réussi à convaincre Sukru de partir. Des qu'ils sont partis . Gulay était toujours aussi froide. Le soir on a mangé tous ensemble mais le dîner était glaciale je n'avais presque rien mangé. Une fois la nuit tombée.
Gulay: je vais te montrer ta chambre viens Ela
Yagiz: abla tu pourras lui donner des vêtements aussi elle a rien sur elle.Elle le regarde de travers. Je prends mes enfants par leur bras. Et on monte dans la chambre. Gulay ne m'avait pas parlé. Elle avait préparé la chambre. Elle était très belle et elle m'avait prêté des pyjamas. Pour mes enfants elle m'a prêté des vêtements de ses enfants. Le lendemain je me réveille par des bruits. Je descends en bas en courant je vois la maman à Yagiz.
Sa mère vient en courant dans ma direction elle me gifle et me tire par les cheveux.
J'étais déboussolée. Tout le monde essayait de nous séparer. Yagiz me prend dans ses bras. Je n'étais pas bien.Yagiz: ANNE YETER (maman ça suffit)
Il m'aide à monter en haut. Je pleurais toutes les larmes de mon corps. Mes enfants pleureraient aussi avec moi sans même comprendre.
Yagiz: askim ozur dilerim (mon amour je suis désolée) on va partir on va plus revenir ici vallaha (je te jure). Hadi askim habille toi on va partir.
Pendant que je m'habillais Yagiz avait le dos tourné. Il habillait mes enfants et essayait de les rassurer.
Moi: c'est bon.
Il se retourne et me fait un câlin. Il prend Eda et moi Ezad. On sort de la chambre. On descend en bas. Ils étaient tous sur le canapé. D'un coup il se relève tous et nous fixe.
Yagiz ne les regardait même pas il me prend par la main et ouvre la porte de la maison.
J'entendais sa mère criait, m'insultait et ses sœurs entrain de calmer sa mère ses frères pareil. Certains essayaient de calmer Yagiz mais plus rien ne pouvait l'arrêter.