Partie XXIX

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Le lendemain je me réveille, je tourne la tête Eymen n'est pas la. Je prends ma béquille et je vais voir dans sa chambre de travail.
Effectivement il s'est endormi sur sa planche de dessin, toujours vêtu de son costard.
Je me dirige vers lui et je le réveille.

Moi. Eymen?

Il lève la tête.

Eymen. IL EST QUELLE HEURE ?!

Il ouvre son Mac, il voit qu'il est 9 heure.
Il se lève en furie et il commence a se précipiter. Il range son dessin et il part en courant.

Moi. Je te fais quelque chose?
Eymen. J'avais un rendez vous a 8 heure!

Il sort de la maison en courant. Avec ses vêtements de la veille.
Je l'ai appelé dans la matinée mais il ne m'a pas répondu.. Du coup je me suis un peu occupée, j'ai fais a manger pour le déjeuner, je me suis lavée et habillée. Dans l'après midi j'ai reçu un appel de Filiz ma cousine.

[APPEL]

Filiz. Ma chérie?
Moi. Oui cousine
Filiz. Aujourd'hui t'es disponible
Moi. Oui
Filiz. Je passerais dans l'après midi alors
Moi. Tamam ( d'accord)
Filiz. Envoies moi ton adresse par message
Moi. Pas de soucis

Je raccroche et je lui envoie l'adresse.
Je crois que vers les coups de 17 heure ca toque a la porte c'était sûrement Filiz. J'ouvre la porte et je vois face à moi Filiz et Vadi. J'avais juste une seule envie c'était de le virer! Il m'énerve tellement! Il me trompe avec ma cousine, il l'a fait tombé enceinte et après pour se venger de moi il s'est marié avec elle... Je ne pouvais pas l'accepter, il ne pouvait pas rentrer a la maison alors que toute ces emmerdes que j'ai eu c'était à cause de lui et j'ai même failli divorcer avec Eymen a cause de ce salaud.. Si seulement Eymen entendait que je l'avais pris à la maison. J'étais même pas sur qu'ils allaient partir avant qu'Eymen vienne.. Ils entrent à la maison, je dis bonjour à Filiz.
Vadi me tend la main mais je la touche pas je les invite au salon, avec Filiz on parle un peu de tout et de rien. J'étais vraiment gênée il faisait que de me regarder...
J'avais chauffée des sorma, des borek ( gastronomie turque) et je leur avais fait un gâteau au chocolat avec du kisir ( taboulé )
On mangeait, on parlait, le temps coulait et la pression montait, j'étais pas du genre à bailler pour leur faire comprendre qu'ils devaient dégager du coup j'ai laissé le temps faire les choses.
Filiz et moi on parlait de nos souvenirs et on riait jusqu'à ce que la porte d'entrée de la maison s'ouvre et que j'aperçois Eymen.

CHRONIQUE de Ela Où les histoires vivent. Découvrez maintenant