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-IMRAN-

















~chapitre 17~

















📍Nice,maison

Je me suis figé, restant paralysé.

Est-ce que je l'aime vraiment ? Je ne sais pas.

Je sais simplement que quand je suis avec elle, je me sens bien, apaisé, souriant.

Quand la prends dans mes bras, et j'ai une sensation bizarre. C'est tout nouveau pour moi, à la base, les filles, je flirte avec elles puis les oublie, mais elle, elle est différente des autres.

Je ne lui réponds pas et vais m'habiller.

30 minutes plus tard, Dina et moi descendons.

Je descends et vois Zahïra dans les bras de Selim, ça m'énerve.

Ils se détachent.

J'arrive vers eux et checke Selim.

Zahïra, elle, baisse la tête.

Moi: Salem, khoya.

Selim: Salem, kho, tu fais quoi réveillé de bonne heure comme ça?

Moi: Je dois ramener Dina chez sa copine, mais il n'est pas si tôt que ça, il est 11h30, et toi?

Selim: Je dis ça parce que la plupart du temps, tu te réveilles vers 15h-16h, et moi, j'amène les filles au centre commercial.

Pffffff.

Moi: Vas-y, Salem, on se retrouve cette après-midi.

Selim: Vas-y.

Puis, ils s'en vont.

On entre dans la voiture.

Dina: Je sais que tu l'aimes.

Moi: Qui t'a raconté ça?

Dina: Personne, mais tu la regardes comme si c'était la plus belle à tes yeux, et tu n'as jamais eu ce regard avec qui que ce soit.

Moi: Tu racontes n'importe quoi.

Dina: Ouais, ça doit être ça, ouais.

On continue la route.

Arrivée à destination, elle descend.

Moi: Bonne journée.

Dina: Merci, toi aussi.

Moi: Tu m'appelles pour que je vienne te chercher.

Dina: Ok, Salem.

Moi: Salem.

Ensuite, je m'en vais.

En rentrant chez moi, je vois ma mère à la cuisine en train de préparer à manger.

Moi: Bon, je repars dormir.

𝐈𝐦𝐫𝐚̂𝐧 « 𝐣𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐞 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant