-IMRAN-
~ chapitre 67~
📍Nice , maison
19h
Nous étions en train de finaliser l'aménagement de la chambre de notre fils.
Elle est enceinte de huit mois.
DING DONG
Sa sonne.
Je vais ouvrir.
La porte dévoile les parents de Zahïra.
Eux: Salem aleykoum.
Moi: Aleykoum salem.
Khali Nasser : Nous aimerions parler avec Zahïra.
Moi: Euh, je ne pense pas qu'elle voudra.
Khalti Djamila: Hafek weldi, on a besoin de lui parler.
Je soupire.
Moi: Ok, entrez.
Ils entrent, et je les guide jusqu'au salon.
Zahïra: C'est qui ?
Elle entre dans le salon, écarquille les yeux, et me regarde.
Zahïra: Pourquoi tu les as fait entrer ?
Moi: Ce sont tes parents, malgré tout, il faut que vous ayez une discussion.
Elle souffle.
Zahïra: Je ne veux plus entendre parler d'eux.
Moi: Arrête Zahïra, ce sont tes parents, et tu sais très bien que dans l'Islam, c'est mal de renier ses parents. Tu es en train de te prendre des péchés, hbiba.
Zahïra : Ok, c'est bon, asseyez-vous.
Ils s'assoient.
Moi: Je vous laisse discuter entre vous.
Zahïra: Non, tu restes là, tu es mon mari, donc c'est rien.
Je regarde ses parents.
Moi: Ça ne vous dérange pas ?
Eux: Non, pas du tout.
Je leur souris.
Je m'installe à côté de Zahïra.
Khali Nasser : Benthi, hefek, pardonnez-nous. On le regrette tellement, mais on vous jure qu'il n'y a pas un seul jour où nous n'avons pas pensé à vous. C'était tellement dur sans vous.
Zahïra: larmes aux yeux, Vous avez été égoïstes. Vous ne savez pas dans quel état j'étais. Je souffrais tellement. Je n'étais plus la fille toujours souriante. Quand on me voyait, on aurait dit que j'étais un fantôme tellement j'étais pâle.
Khali Nasser : Nous ne pensions pas que tu souffrirais autant. C'était aussi pour vous protéger. À chaque fois, je recevais des vidéos de vous tous faisant ce que vous faisiez, avec des menaces. Ils vous suivaient partout.
Zahïra: Tu aurais dû réfléchir avant d'avoir des enfants. Tu continues tes trafics, et maintenant, tu es père bientôt grand-père, et tu persistes à grand ton âge, c'est chaud.
Khali Nasser: Je sais, mais je n'arrivais pas à m'arrêter. Puis, à un moment, j'ai commencé à me calmer, mais j'avais tellement de dettes à payer.
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𝐈𝐦𝐫𝐚̂𝐧 « 𝐣𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐞 »
Romance « 𝓊𝓃 𝒶𝓂𝑜𝓊𝓇 𝓈𝒾𝓃𝒸è𝓇𝑒 𝓃𝑒 𝓈𝑒 𝓉𝑒𝓇𝓂𝒾𝓃𝑒 𝒿𝒶𝓂𝒶𝒾𝓈 » Imrân & Zahïra Histoire fictive