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-IMRAN-


















~chapitre 41~

















3 jours plus tard...

Je passais la plupart de mon temps avec Zahïra, sinon, il ne se passait rien d'intéressant.

J'étais chez moi, seul et tranquille, jusqu'à ce que j'entende un coup fort à la porte. Je soupire, me dirige vers la porte, et je me retrouve face à...































FARÈS .

Il me pousse à l'intérieur de l'appartement et me saisit par le col.

Farès : Alors, comme ça, tu fréquentes ma sœur, espèce de fils de pute.

Moi : Commence par parler correctement.

Farès : Ferme ta gueule, tu fréquentes ma sœur.

Moi : Je ne la fréquente pas comme tu le prétends, c'est du sérieux.

Il rit nerveusement.

Farès : Tais-toi, du sérieux, tu te crois rangé alors que t'étais dans le hram. Tu penses que je vais te confier ma sœur, t'as complètement perdu la tête, wallah.

Moi : Je me suis éloigné du hram, je suis sérieux, et je l'aime vraiment.

Il commence alors à me frapper, et une bagarre éclate.

Farès : Même si tu t'es soi-disant rangé, t'as déjà joué avec ma sœur. T'étais censé être mon meilleur pote, et voilà que tu fais ça en douce derrière mon dos.

Moi : On ne te l'a pas dit à cause de ta réaction. En plus, j'allais venir te parler cette semaine pour demander sa main.

Farès : Il est hors de question que j'accepte ta demande. T'es qu'un salaud, combien de fois t'as utilisé des filles pour ensuite les jeter.

Moi : Ouais, je le reconnais, mais c'était avant de rencontrer ta sœur. Avec elle, c'est sérieux, je l'aime plus que ma vie et je ferais tout pour elle.

La bagarre continue pendant notre conversation.

Farès : JAMAIS TU TE MARIERAS AVEC ELLE. ELLE VIENDRA HABITER AVEC MOI, VOUS NE VOUS VERREZ PLUS, ET JE LA MARIERAI À QUELQU'UN DE PIEUX, ET, ELLE T'OUBLIERA.

Moi : JAMAIS, SI CE N'EST PAS ELLE, CE SERA PERSONNE D'AUTRE, ET ELLE PENSE LA MEME CHOSE. TU NE VEUX PAS QU'ELLE SOIT HEUREUSE OU QUOI ?

Farès : AU CONTRAIRE, C'EST POUR ELLE QUE JE FAIS TOUT ÇA, PARCE QU'AVEC TOI, ELLE NE SERA JAMAIS HEUREUSE. TU LA FERAS SOUFFRIR, ET VOUS N'AVEZ PAS D'AVENIR ENSEMBLE.

Moi : QUI TE DIT QUE JE NE LA RENDS PAS HEUREUSE, HEIN ? MÊME ZUHAIR M'A DIT QU'AVEC MOI, ELLE A RETROUVÉ LE SOURIRE DEPUIS CE QUI S'EST PASSÉ AVEC VOS PARENTS.

La bagarre persiste, puis la porte s'ouvre. Zuhair, Aïda et Zahïra interviennent et se placent entre nous.

Farès : DÉGAGEZ, IL SE TAPE MA SŒUR DERRIÈRE MON DOS ALORS QU'IL EST CENSÉ ÊTRE MON FRÈRE.

Zuhair : Calme-toi, frérot, sérieux.

Farès : Toi, tais-toi, tu étais au courant et tu ne m'as même pas informé.

Zuhair : Ouais, parce que je savais que tu réagirais comme ça, alors qu'ils étaient heureux. Zahira le mérite, tu ne penses pas ?

Farès : Si, mais pas avec ce genre de gars.

𝐈𝐦𝐫𝐚̂𝐧 « 𝐣𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐞 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant