24

21.3K 538 225
                                    

-IMRAN-




















~chapitre 24~

















📍Nice,maison

Je lui est juste souri.

Ensuite, elle retourne à la cuisine.

30 minutes plus tard, elle revient et s'installe sur le canapé à côté de moi.

Moi: Elle ne s'est pas réveillée?

Zahïra: Si, elle se prépare juste et va déjeuner avant qu'on parte.

Moi: D'accord.

Zahïra: Sinon, comment ça va?

Moi: Hamdoulilah, et toi?

Zahïra: Hamdoulilah, même si je suis fatiguée à cause de la fac.

Moi: Oui, mais ne lâche rien.

Zahïra: T'inquiète.

Moi: Demain, je viens te chercher à 19h.

Zahïra: Pourquoi?

Moi: Tu verras.

Zahïra: D'accord, mais que dois-je dire à mes frères?

Moi: Dis-leur que tu passes la nuit ici.

Zahïra: Mmh, d'accord.

Nous continuons à discuter en attendant qu'Aïda arrive.

Elle revient, puis elles partent.

Je vais voir ma mère.

Moi: Maman, tu veux que je t'aide?

Maman: Pourquoi? Pour que l'appartement brûle? Non merci.

Moi: Mais n'importe quoi, je sais cuisiner.

Maman: Tu es en train de me traiter de menteuse ou je rêve.

Moi: Je n'ai jamais dit ça.

Maman: Beh si, tu me contredis.

Moi: Non, pas du tout.

Maman: Mmh, tu ferais bien.

Moi: Tu auras fini vers quelle heure tout ça?

Maman: Dans 2 heures, c'est bon.

Moi: D'accord, pour l'instant, je vais vérifier dans la salle si tout est prêt. En plus, normalement, le DJ doit venir pour brancher tout son matériel.

Maman: Vas-y, vas-y, kawed.

Je rigole.

Je mets mes chaussures puis descends.

Je salue tout le monde en bas rapidement et monte dans ma voiture.

30 minutes plus tard, j'arrive.

Je vois qu'il y a encore quelques copines de ma sœur qui terminent les dernières retouches, et puis il y a Alya qui vient vers moi.

Bon, elle aussi était une de mes conquêtes, mais je m'en fous à un point incroyable. Parfois, je me demande si elle n'est pas amie avec ma sœur simplement parce que je suis son frère.

Alya: Comment ça va?

Moi: Ouais, hamdoullah.

Alya: Ça te dit qu'après avoir fini, on aille chez moi?

Putain, elle va vraiment me les casser, celle-là.

Moi: Non.

Alya: Allez, viens.

𝐈𝐦𝐫𝐚̂𝐧 « 𝐣𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐞 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant