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-IMRAN-



















~chapitre 18~












📍Nice,chez zahïra

Moi: les kho j'arrive, je vais au toilette .

Eux: vas-y .

Je me dirige vers la cuisine pour retrouver Zahïra.

Zahïra me demande pourquoi je suis là avec ses frères à proximité.

Je lui explique que je voulais lui montrer quelque chose que j'ai vu avant d'arriver.

Zahïra veut savoir de quoi il s'agit.

Je lui montre la photo de Selim et Ilhem.

Zahïra réagit en réalisant ce qu'elle voit.

Je confirme que c'est bien eux.

Zahïra se sent trahie et décide de prévenir Aïda et d'informer les autres.

Je lui envoie la photo comme demandé.

Je lui assure que je le fais pour elle, qu'elle ne mérite pas de souffrir.

Je ressens le besoin de la réconforter, la prenant dans mes bras, elle finit par répondre à mon étreinte.

Elle se questionne sur la nature de notre relation.

Zuhair nous interrompt en me demandant de le rejoindre.

Je lui promets de revenir sur le sujet plus tard pour éviter tout soupçon de ses frères.

Zahïra acquiesce, et je m'éloigne.

Farès me demande ce que je faisais.

Je lui explique que j'ai eu du mal à trouver la porte.

Il acquiesce.

Nous avons mangé, joué à la console, puis je suis rentré chez moi.

Ce soir-là, je n'avais vraiment pas envie de sortir.

               

















-ZAHÏRA-

Farès venait de partir, comme d'habitude.

Contrairement à l'habitude, Zuhair était resté.

Quoi qu'il en soit, je me retire dans ma chambre et appelle Aïda.

Appel:

Moi: Salam ma vie.

Aïda: Salam bagra, ça va?

Moi: Hamdoullah, et toi?

Aïda: Hamdoullah. Attends, je vais ajouter Ilhem à l'appel.

Moi: Non, ne l'ajoute pas, je dois te dire quelque chose.

Aïda: Oulaaaa, ça sent pas bon. Vas-y, dis-moi tout.

Moi: Tout à l'heure, ton frère est venu chez moi pour jouer à la console avec mes frères, puis il est allé dans la cuisine et a montré une photo.

Aïda: C'est quoi la photo?

Moi: Ilhem et Selim en train de s'embrasser et de se prendre dans les bras.

Aïda: PARDONNNNNN, je crois que j'ai mal entendu.

Moi: Non, non, tu as très bien entendu.

Aïda: Oooooh, les traîtres.

Moi: Tu l'as dit.

Aïda: Ils t'ont vraiment joué un mauvais tour.

Moi: Grave.

Aïda: Du coup, tu vas faire quoi?

Moi: Je ne sais pas pour l'instant.

Aïda: Viens, on leur fait un "guent à pens."

Moi: Ptdrrrr, tu es trop folle. Non, je vais juste leur parler.

Aïda: Pffff, je suis vraiment déçue de Selim, lui qui te disait qu'il allait te marier, comme il le disait, ou quoi.

Moi: Même moi, mais je t'avoue que j'hésitais aussi.

Aïda : Cela a un lien avec mon frère?

Moi: Ouais, je ne sais pas, mais ce que je ressens pour lui n'est pas comparable à ce que je ressentais pour Selim. Avec Selim, c'était juste de l'attachement, mais avec Imran, c'est beaucoup plus fort.

Aïda : Ouais, je vois. Heureusement qu'il les a vus avant que tu te maries avec Selim.

Moi: Grave.

Aïda : Du coup, tu veux faire quoi?

Moi: Je vais simplement les appeler tous les deux pour leur parler.

Aïda : Vas-y, donne-leur rendez-vous dans 2 heures.

Moi: Vas-y.

Aïda : Vas-y, je te laisse. Je dois aller faire des courses avec ma mère. Dans 1 heure, je serai chez toi.

Moi: Vas-y, hbiba. À toute.

Aïda : Vas-y, ma vie.

Appel terminé.

J'envoie un message à Ilhem et Selim, les invitant à nous rejoindre dans deux heures au parc du quartier, puis je commence à préparer le dîner.

Je prépare un tajine et de la harira pour ce soir.

Puis, on frappe à la porte.

J'ouvre et je vois Aïda devant moi.

Moi: Salem aleykoum ma vie.

Aïda: Aleykoum salem ma vie.

Elle entre, nous allons dans le salon, discutons, et quand l'heure approche, nous nous préparons rapidement avant de descendre.

Nous nous rendons au parc et attendons quelques minutes.

Selim arrive cinq minutes plus tard.

Selim nous salue en disant "salem les filles".

Nous lui répondons avec un "aleykoum salem".

Selim propose une activité.

Je suggère d'attendre d'abord Ilhem.

À peine ai-je prononcé son prénom qu'il devient tout blanc.

Aïda : Qu'est-ce qu'il y a, tu es devenu blanc d'un coup?

Selim : Euh... non, rien.

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𝐈𝐦𝐫𝐚̂𝐧 « 𝐣𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐞 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant