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-IMRAN-


















~ chapitre 66~










📍Nice, maison

Dina apparaissait dans une vidéo en train de hechek avec un homme.

Ma petite sœur, c'est une p*te

En plus, elle n'a que 17 ans.

On vient de perdre notre sœur aînée, et j'apprends que la deuxième, la seule qui me reste, est dans des combines douteuses.

Je vais lui faire la morale.

Je monte rapidement, furieux.

En arrivant dans la chambre, je trouve Zahira au téléphone.

Zahira : Qu'est-ce qui se passe ?

Moi : Figure-toi que ma sœur est dans des affaires louches.

Zahira : Dina ?

Moi : Eh oui, logique, il ne me reste qu'elle comme sœur.

Zahira : Non, je ne pense pas. Peut-être que quelqu'un a menti.

Moi : Et ça, c'est quoi ?

Je lui montre la vidéo.

Elle est choquée.

Zahïra : t'es sûr que c'est vraiment elle ? J'ai du mal à croire qu'elle puisse faire ça.

Moi : Oui, sûr et certain. Bref, je dois régler son compte.

Zahïra : S'il te plaît, ne fais pas de bêtises. C'est quand même ta sœur.

Moi : C'était, elle n'est plus rien pour moi maintenant.

Zahïra : Arrête de dire ça. Tu es juste énervé. N'oublie pas que vous avez le même sang.

Moi : Je m'en fiche. Elle n'avait qu'à réfléchir avant de se comporter ainsi.

Zahïra : Imrân, s'il te plaît, ne lui fais rien. Explique-toi juste avec elle pour comprendre pourquoi elle a agi ainsi.

Moi : Mouais, on verra.

Ne pensez pas que je vais la ménager. Zahïra veut venir avec moi, mais je lui dis de rester, de se reposer, ainsi que notre fils.

Zahïra : D'accord, mais s'il te plaît, ne te défoule pas sur elle.

Moi : Ouais, ouais.

Je m'approche d'elle, fais un bisou à notre fils.

Moi: Papa t'aime, mon fils. Tu seras le futur footballeur, je te le promets, d'accord.

Je me redresse et dépose un baiser sur le front de Zahïra.

Moi: Je t'aime.

Zahïra: Moi aussi, omri.

Je lui souris puis je m'en vais.

𝐈𝐦𝐫𝐚̂𝐧 « 𝐣𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐞 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant