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-DINA-
















~ chapitre 74~















📍Nice, maison

Salam à tous, je pense que la plupart des gens ne m'apprécient pas en raison de mon passé, et je les comprends. Même moi, je me déçois, mais Alhamdulillah, je me suis repenti.

J'étais seul chez moi, ma mère était partie chez les parents de Zahïra depuis leur retrouvaille, elle ne se quitte plus.

Mon frère Souleymane est sorti avec sa copine.

Younes est avec ma mère.

Je regardais la télé quand ça sonne chez moi.

Je trouvais ça bizarre, surtout que je n'attendais personne.

Je me lève et vais ouvrir.

Et là, je reste figé sur place.

Je n'arrive pas à y croire.

Ça ne peut pas être vrai.

C'est impossible.

Pourquoi est-il revenu ?

Je commence à trembler des mains.

Moi : Qu'est-ce que tu fais là ?

... : Je veux qu'on s'explique.

C'était Zakaria.

Cette fille, c'est celui que j'ai le plus aimé dans ma vie depuis des années, et je l'aime toujours.

J'ai essayé de l'oublier, mais je n'ai pas réussi. Il n'y avait que lui dans mon cœur et ma tête.

Moi : S'expliquer de quoi ?

Zak : De tout ce qui s'est passé entre nous.

Moi : Il n'y a rien à dire.

Zak : S'il te plaît, je t'en supplie, il faut vraiment qu'on se parle.

Je le laisse rentrer chez moi sans un mot.

Moi : Vas-y maintenant, parle.

Zak : Wallah, je suis désolé pour tout ce qui s'est passé. Je le regrette tellement. On n'aurait jamais dû faire ce qu'on a fait.

Moi : C'était une raison pour partir sans nouvelle. Tu aurais simplement dû me le dire, et on aurait arrêté de se voir tout seuls.

Zak : Mais tu ne comprends pas que je n'arrivais pas. Tu étais devenue comme une drogue. Je te voulais pour moi entièrement, et dès que j'étais proche de toi, je n'arrivais pas à me contrôler. J'étais le meilleur ami de ton frère.

Moi : DANS TOUT ÇA, TU NE SAIS PAS COMMENT J'ÉTAIS APRÈS TON DÉPART. JE SOUFFRAIS TELLEMENT, J'AVAIS MAL AU CŒUR, JE FAISAIS MÊME DES CRISES ALORS QUE JAMAIS JE N'EN FAISAIS AUPARAVANT. TU M'AS ABANDONNÉ COMME SI JE N'EXISTAIS PAS, COMME SI TU TE FOUTAIS TOTALEMENT DE MOI. PUTAIN, JE T'AIMAIS À EN MOURIR, J'AURAIS TOUT FAIT POUR TOI.

𝐈𝐦𝐫𝐚̂𝐧 « 𝐣𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐞 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant