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-IMRAN-






















~ chapitre 63~

















📍Nice,hôpital

Nous sommes arrivés à l'hôpital simultanément avec l'ambulance transportant Aïda.

En conduisant de manière imprudente, j'ai ignoré les feux rouges et dépassé la limite de vitesse pendant le trajet.

Les ambulanciers font descendre Aïda, toujours inconsciente. À notre arrivée à l'hôpital, une équipe de médecins prend immédiatement en charge Aïda.

J'ai contacté ma famille, Farès et Zahïra, les informant de venir, et ils sont tous en route.

















3h plus tard...

Nous n'avons toujours pas reçu de nouvelles d'Aïda.

Entre-temps, toute ma famille, Farès avec sa femme, et Zahïra sont arrivés. Dès qu'ils ont appris la situation, des larmes ont coulé sur tous les visages. Nous étions assis, certains regardant le vide, d'autres pleurant.

C'était douloureux de voir ma sœur (Dîna) et ma femme verser des larmes. Younès est resté chez une amie de ma mère, par choix de ne pas l'exposer à cet endroit.

Un médecin arrive, et nous nous précipitons tous vers lui.

Ma mère: en pleurs ,Comment va ma fille ?

Le médecin : Je suis vraiment désolé de vous annoncer que nous n'avons pas pu sauver votre fille. Toutes mes condoléances.

Puis il part.

Ma mère s'effondre en pleurs, criant que ce n'est pas possible, que sa fille est trop jeune. Zahïra va vers ma mère, la prend dans ses bras, et s'effondre en larmes.

Zahïra : Pleure, calme-toi. C'est le destin, insha'Allah, vous serez réunies au paradis.

Elle serre ma mère dans ses bras. Je vois Dîna, les yeux pleins de larmes, fixant le vide. Je m'approche d'elle et la serre dans mes bras.

Dina : J'ai du mal à croire qu'elle est vraiment partie.

Moi : C'est le destin, hbiba.

Dina : Je sais, mais je n'arrive pas à comprendre comment je vais faire sans elle.

Bien que je ne l'aie pas mentionné dans la chronique, Dina et Aïda étaient très proches.

Moi : Tu vas y arriver, d'accord ? Tu feras tout pour qu'elle soit fière de toi, là où elle est.

Dina : Mmmh, tu as raison. Merci.

Moi : Ne t'inquiète pas, princesse.

On se détache l'un de l'autre. Je remarque ma mère encore en pleurs, alors je m'approche d'elle.

Mama : Pleure, ma fille, reviens s'il te plaît. Tu ne peux pas nous laisser ainsi.

Zahïra se décale un peu et me laisse m'agenouiller devant ma mère. Je la prends dans mes bras et la serre fort.

𝐈𝐦𝐫𝐚̂𝐧 « 𝐣𝐞 𝐭'𝐚𝐢𝐦𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐦𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞 𝐯𝐢𝐞 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant