The demon's heart (tome 1)[ en réécriture]

Chapitre 16

Ce demon sait ce que j'aime. Il a ce côté sauvage et brutal qui m'excite atrocement. Mon corps tout entier brûlait de désir et d'envie. Je ne voulais qu'une chose, le sentir en moi. Je ne me suis pas gêné de le lui faire comprendre en l'embrassant. Mais il n'avait pas l'air aussi pressé que moi, même je dirais qu'il faisait exprès de me faire patienter. Je n'en pouvais plus, je devais calmer ces chaleurs qui me torturaient, donc j'ai essayé de reproduire les va et viens qu'il faisait avec ses doigts dans mon entre jambe mais cette fois çi avec mes propres doigts. Mais à peine ai-je effleuré les lèvres de mon vagin de ma main, je sentis quelque chose de violent de me pousser contre un rocher. Arthur m'avait plaqué dos à cette pierre puis il mit sa main sur ma gorge comme pour m'étrangler. Il me regarda d'un air sévère et me dit:
-Comment ose-tu toucher ton vagin sans mon consentement?
-Quoi? Je dois demander votre avis pour toucher mon corps? Jamais de la vie!

Je ne savais pas d'où venait ce courage qui m'a permit de m'adresser à lui de cette manière mais son regard me fit immédiatement regretter mon geste. Et la seconde d'après, une gifle me frappa la joue. Arthur venait de me frapper, il était si violent et cela se voyait qu'il ne contrôlait pas ses nerfs. Mais pour une raison que j'ignore, j'aimais cette douleur et ce sentiment de n'être que son jouet. J'ai relevé le visage vers lui et mon regard rencontra le sien. Il était si beau avec son air sévère. Je me mis à caresser la main avec la quelle il m'étranglait. Il rapprocha son visage du mien et me murmura:
-Tu t'es soumise à moi sans même t'en rendre compte, mais tu ne mesures pas tes limites et je vais me faire un plaisir de te punir immédiatement comme il se doit.

Je frémis rien qu'en entendant sa voix sensuelle. L'instant d'après, il me releva ma cuisse et me pénétra avec une telle brutalité qu'un cri s'échappa de ma gorge. Il commenca à me donner des coups de reins qui étaient de plus en plus violents. Je pleurais de plaisir et je gémissais jusqu'à presque en perdre le voix. J'ai glissé mes mains dans les cheveux d'Arthur pour m'y accrocher. Même çi il était violent j'en demandais davantage. Je gémissais à travers les larmes:
-Plus fort... Je vous en supplie plus fort.. Ne vous arrêtez pas Arthur je vous en prie.

Il me gifla de nouveau et me cria:
-Comment ose-tu m'appeler par mon prénom?!
-m.. Maître pardonnez-moi.

Le prince s'arrêta brusquement et me regarda avant de dire:
- Habille-toi je vais t'achever dans mes appartements.