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Thalya m'embrasse avec tellement d'ardeur que j'ai du mal à suivre son rythme

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Thalya m'embrasse avec tellement d'ardeur que j'ai du mal à suivre son rythme. Je sais qu'elle se sent soulagée par ce que je viens de lui dire, et je mentirais si je disais que je ne l'étais pas aussi.

La petite pique de ma sœur flotte autour de moi depuis que j'ai quitté la table à la poursuite de ma rouquine.

L'homme qui l'aura dans sa vie sera comblé...

Je refuse d'imaginer un autre homme à ses côtés. Déjà Logan et Daniel étaient de trop à supporter, Morgan était la foutue goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Je ne supporterai plus de la voir avec un autre, je devrais me soulager et lui dire que je l'aime à en avoir le souffle couper chaque fois qu'elle pose son regard sur moi.

Mais je n'y arrive pas...

Je déshabille celle qui fait chavirer mon cœur en déposant mes lèvres sur sa peau. J'embrasse les taches de rousseurs qui parsèment sa douce peau et mordille en espérant la marquer pour la faire mienne.

J'hume son odeur en remontant vers sa bouche lorsqu'elle est nue et je plaque mon corps contre le sien, avide de la sentir.

— Des mots trésor, susurré-je au coin de ses lèvres.

— Prend-moi.

Je grogne et attrape mon membre pour entrer doucement dans sa moiteur, elle cambre son dos pendant que je suce son cou à la recherche de sa veine jugulaire.

J'entame des coups de bassins en prenant le temps d'apprécier chaque fois la chaleur de son sexe, je mords puis lèche sa veine qui palpite dans son cou.

La distance de ces dernières semaines que je mettais sont à des années lumières à cet instant. Je souffrais tellement de cette distance que j'instaurais, j'étais malade de la voir se briser entre les mains de ma petite sœur sans pouvoir y remédier car tout était de ma faute.

— Illan... ouiiii...

J'accélère mes coups de butoir en redressant le visage pour mater le sien, crispé par le plaisir. Une image torride, qui fait palpiter ma queue.

— Tu aimes ? grondé-je.

Elle crie de plaisir en tirant la pointe de mes cheveux noir et je gémis en la voyant frissonner quand je donne un coup de bassin plus violent.

— Mon Dieu !

Je souris en embrassant la commissure de ses lèvres.

— Je suis honoré d'être considéré comme tel !

Elle ricane mais se coupe en sentant un second coup violent en elle, elle jette son visage sur le côté et serre les draps dans ses poings. J'accélère soudainement, glissant mes doigts entre nous pour jouer avec son clitoris.

— Jouis trésor, dis-je dans un souffle.

Elle hurle à en faire trembler la maison, pendant que je gémis son prénom dans son cou en tremblant en elle. Au bout de quelques secondes, je m'écroule à ses côtés et enlace son corps dans mes bras puis dépose un baiser sur son front luisant de transpiration.

Dear Cupid...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant