Chapitre 52 : La juste décision

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LADIES, GENTLEMEN AND NO BINARY PEOPLE 

Je viens de finir le chapitre 60. Ce qui veut dire qu'il ne me reste plus que TROIS chapitres à écrire sur La dernière page ! 

Je vous avais dit que ça sentait beaucoup trop la fin simultanée cette affaire ! C'est parce que je suis sur une bonne dynamique - et parce que j'ai l'expérience de la fin d'O&P dans les pattes - que je décide d'ors est déjà de passer le rythme de publication à un chapitre par semaine

Donc voilà, la fanfiction fera à priori 63 chapitres, plus un épilogue et bien sûûûr, un "Et après?", notre petit bonbon de fin de fanfiction. Vous avez donc le temps de voir venir et de profiter de la fin ! 

Et commençons donc avec ce chapitre ! J'espère qu'il va vous permettre de mieux comprendre les réactions de Charlie et de Farhan lors de leur dispute au chapitre précédent ... Bonne lecture ! 

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La passion s'exalte et s'adoucit également par l'aveu. Le juste milieu en rien plus désirable que dans la confiance et la réserve à l'égard personne que nous aimons. 

- Johann Wolfgang von Goethe

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Chapitre 52 : La juste décision.

Lundi 14 mai 1991

JE SUIS FRUSTREE. 

J'en ai marre de ne pas savoir POURQUOI Charlie et Farhan se sont disputés. Ils sont insupportables, aussi butés l'un que l'autre. Autant Charlie je savais, autant Farhan je le découvre. Est-ce que j'aime ça? Bah, j'essaie de me dire que ce n'est qu'un mystère de plus à décortiquer ! 

Au moins ce n'est pas moi. J'ai eu peur. Je pensais. Je sais que même si Charlie fait bonne figure, nous voir ensemble lui fait entre étrange ... qu'il a à peine digérer le fait qu'on lui ait menti, au début. Mais c'est bien la seule chose que Farhan a consenti à me dire. Un peu agacé. Je pense que ça lui a paru un peu égocentrique. 

Alors quoi? Ils sont liés comme les doigts de la main. Je ne comprends pas. Je vais enquêter. Il est hors de question qu'ils finissent l'année comme ça. J'en fais une affaire personnelle. TREMBLEZ. 

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-Comment tu réussis à te mettre dans des situations pareilles ...

-Ça va Weasley.

-Non mais s'ouvrir la main avec une plante c'est une grande performance, digne de Nymphadora Tonks. Je me demande ce qui va t'arriver quand tu seras Auror ...

Outrée, Tonks vrilla sur Charlie un regard écarquillé dans lequel brillait une once de crainte. Le jeune homme regretta aussitôt sa pique : il savait que la Poufsouffle craignait que les échos de sa maladresse légendaire l'empêche d'intégrer le programme d'entrainement des Aurors. Ses yeux glissèrent vers la main sommairement bandée de Tonks. Les manches de sa chemise étaient recouvertes de terre et de sang et le bout de ses doigts viraient petit à petit au mauve. Charlie n'avait pas eu le temps de voir sur quelle plante d'entrainait la jeune fille avant qu'elle ne se mette à hurler et Chourave à réclamer un préfet pour l'accompagner à l'infirmerie. Etouffée dans une serre chauffée à blanc par le soleil de mai et le stresse des examens qui semblait s'éprendre de la classe, Charlie s'était tout de suite porté volontaire.

-Pomfresh ne devrait pas tarder, évalua-t-il alors que Tonks contemplait la blessure, l'air inquiet. Elle doit d'abord s'occuper du bras du petit qui s'est renversé sa potion dessus ...

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