Chapitre 26 : Souffler le chaud et le froid.

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Bonjour bonjour bonjour 

Oui je pense que ça fait 4 fois de suite que je poste un jeudi. Mais soi j'ai des choses qui alimentent ma faiblesse (choses à fêter, Covid), soit j'ai des vendredis qui finissent par être chargés (ce qui le cas demain, clairement je vais courir partout j'ai la flemme d'avance). 

DONC ME VOILA 

Alors un truc que j'avais oublié d'acter dans le dernier chapitre : le nom de ship officiel choisi par le peuple pour Joséphine et Farhan est le Jorhan. Le peuple a parlé et Perri en est heureuse. Amen mes frères et soeurs. 

Pour tout autre nom de ship qui ne concernerait pas ces personnages, merci de débattre ici ! 

Maintenant je ne déblatère pas plus pour vous laisser le chapitre ! Alors je cherchai vainement une citation qui me tape dans l'oeil, quand soudain je me suis souvenue de cette chanson. Honnêtement j'aurais voulu la mettre en entier tellement je l'aime, avec une des meilleures introductions musicales de tous les temps, une joie de vivre incroyable. Donc j'ai dû me réstreindre à une strophe, mais sachez que c'est la chanson du chapitre et je vous conseille d'aller l'écouter en entier ==> 

Bonne lecture ! 

***

Et l'on résiste, on bâtit des murs
Des bonheurs, photos biens rangées
Terroriste, il fend les armures
En un instant, tout est balayé

Tu rampes et tu guettes et tu mendies des mots
Tu lis ses poètes, aimes ses tableaux
Et tu cherches à la croiser, t'as quinze ans soudain
Tout change de base et l'on y peut rien

- Et l'on y peut rien
Jean-Jacques Goldman
(Le seul, l'unique)

***

Chapitre 26 : Souffler le chaud et le froid.

Vendredi 11 janvier 1991

Bon. Les rumeurs ont fini par se tarir ... Et Charlie par retrouver sa place en sortilège. Je dirais peut-être « mince » mais en même temps j'ai un peu joué avec le feu sur ce coup-là. D'accord je joue toujours avec le feu. Je ne peux pas m'arrêter, OK ? C'est fascinant, le feu. Je pourrais rester des heures à ...

[Gribouillis]

Bon, passons. Le principal est que ça aille mieux pour Lauren. Même entre nous deux ... j'ai l'impression qu'on a enfin trouvé les clefs pour se comprendre l'une et l'autre. Parfois on se sourie dans les couloirs. C'est agréable. Je crois que c'est la première fille dans cette école avec qui j'ai une relation à peu près normale.

J'aimerais en dire autant de Berry ... J'ai cru qu'on avait enterré la hache de guerre autour d'un maquillage, mais je la sens toujours prudente, pour ne pas dire froide. Bon tant pis, je ne vais clairement pas lui courir après, elle viendra quand elle sera calmée.

***

-En plus je suis certain que tu es une harpie au réveil.

Joséphine leva les yeux au ciel face à la pique de Farhan. Ils étaient installés sur une table de la bibliothèque, poussée contre une fenêtre sur laquelle une pluie glacée se fracassait. Toute la surface de la table était recouverte par des grimoires, des notes, des parchemins dépliés ou en rouleau. Et bien évidemment, par une Joséphine complètement affalée, la joue appuyée contre son poing, vaguement occupée à faire léviter sa plume à l'aide de sa baguette. Elle jeta un petit regard à Farhan.

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