chapitre 32

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-Je ne pense pas, je ressens simplement, ordonne-t-il.

Il se penche avant et l'embrasse, frottant ses lèvres avec son propre parfum. Elle geigne, l'encourageant à faire de même.

-Je vais essayer d'y aller doucement, mais je veux, je dois te posséder.

Éléonore halète de plaisir lorsqu'elle le voit prendre un de ses seins et caresser la pointe sensible avec son pouce calleux.

Le goût de ses lèvres était étrange mais addictif.

Elle voit l'intensité sombre de son regard alors qu'il observe sa réaction.

Il déplace ses doigts petit à petit sur son ventre, juste au-dessus du centre palpitant de ses hanches.

-Maintenant, c'est à vous, dit-elle en retirant ses sous-vêtements pour libérer son membre.

-Mettez-vous à genoux, je veux sentir vos lèvres.

Éléonore obéit, se mettant à genoux devant lui.

Il regarde son corps couvert par la jaquette.

Il lève la main et la retire.

Son érection bondit en avant, se tenant devant un buisson de cheveux noirs.

Petit à petit, elle ouvre la bouche.

Le duc grogne en le portant à ses lèvres.

Elle gémit en signe d'acceptation et commence à lécher toute son membre, se déplaçant sur les côtés pour continuer au-delà de la base, jusqu'aux boules molles cachées en dessous.

-Argh! Ce faisant, elle s'étend tout entière.

-Par tous les dieux, ne vous arrêtez pas !

Eleonore touche son pénis pendant qu'elle continue à téter une de ses couilles.

Se sentant audacieuse, elle s'est également lancée dans l'autre.

La main de Rory l'entoure, lui apprenant comment le gérer.

Il le serre fermement.

-Ah, gémit-il..

Le comprenant, il bouge pour mettre le sexe à ses lèvres.

Il pousse en avant, poussant presque jusqu'à sa gorge.

Elle était au bord de l'envie, mais le goût et l'odeur de Rory lui donnaient envie de plus.

Le duc lui prit la tête dans ses mains et bougea son visage de haut en bas, lui apprenant comment procéder.

-Plus fort, indiqua-t-il, suce plus fort.

Prends mes couilles dans tes mains.

Éléonore a fait ce qu'on lui avait dit.

Elle aimait être nue devant lui, lui procurant tellement de plaisir.

Elle ouvrit ses cuisses complètement mouillées pour que l'air la rafraîchisse.

-C'est vrai, grogna-t-il.

Je vais te donner un peu de ma semence et je veux que tu l'avales en entier comme une gentille fille.

Ne vous inquiétez pas, j'économiserai de quoi vous satisfaire également.

Tu vas boire ce que je te donne, n'est-ce pas ?

Vous allez lécher jusqu'à la dernière goutte et vous allez aimer ça

Elle gémit d'acceptation, le tétant plus fort et voulant goûter la graine qu'il avait promise.

-Ça ça son corps se tendit et grogna. Oh ouais!

Nottingham : Mon sauveur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant