La pianiste

La pianiste 16

"Debout, dépêche toi, on bouge"

Surprise, elle n'a pas le temps de questionner ses ravisseurs, ni de voir l'aiguille que l'un d'eux brandit et lui enfonce dans le cou. Elle chancelle, essaie de rester debout et lucide mais ses paupières s'alourdissent malgré elle et doucement, mollement elle s'enfonce dans un puits sans fond, noir. Un des hommes la rattrape avant qu'elle ne prenne contact avec le sol pierreux et la jette sur son épaule.

"Putain, c'est quoi encore cette merde ? "

"Le mec a rameuté ses hommes, le patron ne veut pas prendre de risque, on la change de quartier".

"Comprend pas pourquoi, ici, c'était une planque tranquille".

"Mais avec tous ces fouineurs on ne sait jamais, je te rappelle que ce ne sont pas des tendres si on tombe entre leurs mains, on nous retrouvera en petits morceaux, ils n'en n'ont rien à foutre de la loi".

"Ils ne la connaissent même pas cette fille, elle n'est rien pour eux, alors pourquoi tout ce ramdam ? ".

"J e n'en sais rien et je m'en fous, on la planque ailleurs c'est tout".

Albane dans les vapes, les deux hommes retirent la cagoule qui les dissimulaient à ses yeux.

"Et elle quand c'est qu'elle dégage ? "

"Le patron attend que l'acheteur se manifeste, sinon ce sera au plus offrant".

"Moi j'aimerai bien l'enfiler cette donzelle".

"Pas touche, elle vaut un paquet de fric, il lui fera passer un examen, on sait qu'elle est vierge donc si la marchandise est détériorée on risque d'avoir de gros ennuis".

"Dommage "répliqua son complice en soulevant le tissu qui ne cachait pas grand chose de l'intimité d'Albane qui, inconsciente ne sentit pas le doigt qu'il promena le long de sa fente et qu'il enfonça entre ses lèvres pour aller titiller son clitoris qui se cachait sous son capuchon.

"J'aurai bien aimé écarteler cette jolie chose pour voir le petit bijou qu'elle cache."

"Bah si ce n'est que ça allonge la, écarte et regarde c'est tout, pas plus, c'est une vrai beauté, son acheteur va s'amuser avec elle, en attendant tes doigts restent à l'extérieur."

L'autre ne se le fit pas dire deux fois, il redéposa Albane sur sa paillasse, s'agenouilla, remonta ce qui lui servait de robe, lui écarta les jambes et ouvrit son sexe de ses deux pouces. Son acolyte se rapprocha curieux de voir ce qu'il allait faire. Dommage, oui vraiment dommage  de ne pas pouvoir jouer avec ce qu'ils  avaient entre les mains. Elle était si appétissante, si belle. La belle au bois dormant dans toute sa beauté. Il aurait bien aimé jouer à la poupée. Il regarda le doigt de son acolyte  s'enfoncer  dans le vagin ouvert. Albane ne réagit pas à l'intrusion.

"Ne va pas trop loin, de toute façon avec la dose que je lui ai filé elle va plus ressembler à une poupée de chiffon qu'autre chose".

"Moi j'aime les poupée de chiffon"grogna  l'indélicat en caressant son petit bouton...il s'amusa à le faire rouler entre pouce et index sans déclencher la plus petite réaction dans le corps inanimé   qu'il souleva  pour aller forcer  l'anus...

"Là je peux y aller tranquille dit il en la retournant et en séparant les deux globes de son cul.

"Regarde moi ça comme c'est beau "dit il en entrant sans ménagement dans l'orifice.

"Allez on s'en va sinon on va avoir des ennuis, tu l'a bien reluquée, on se tire, tu me fais bander avec tes conneries".

"Ha ben tu vois que toi aussi tu es intéressé par cette chatte, allez mec on se la bouffe à deux, personne n'en saura rien".

"Je t'ai dit non, tu veux finir en charpie, je ne vais pas mettre ma vie en danger pour une chatte, allez bouge".