La pianiste 28

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On lui avait relié les mains dans le dos....mis cet espèce d'objet de torture dans la bouche...elle avait bien essayée de résister en pinçant les lèvres pour montrer son désaccord, mais rien n'y avait fait, on n'avait pas tenu compte de son avis, l'homme derrière elle s'était approché dans son dos, l'avait coincée contre son torse et d'une main ferme avait pris en étau ses joues qu'il avait serré au point qu'elle avait cru qu'il allait lui éclater les mâchoires, après ça elle avait bien été obligée de desserrer les dents qui avaient été écartées avant d'y introduire cette boule de métal avec piques...elle avait réussit à glisser sa langue en dessous pour éviter d'être blessée par les pointes acérées...elle comprit pourquoi les filles n'osaient même pas un soupir...la langue bougeait et c'était la blessure assurée...elle se tint tranquille, osant à peine respirer....

"Très bien, tu comprends vite".

Ses paroles furent accompagnées d'une caresse sur son sexe qui réveilla cette envie d'ouvrir les cuisses. Une simple caresse, un touché léger sur son clitoris et elle sentit une chaleur se diffuser entre ses lèvres avides de s'ouvrir pour accueillir tout ce que l'on ferait glisser à l'intérieur d'elle. Elle sentait que ce n'était pas naturel, en temps ordinaire elle n'agissait pas comme une chatte en chaleur, elle était plutôt posée, calme, pas dévergondée pour un sou, timide dans ses approches amoureuses qui avaient été peu nombreuses il faut bien le dire et qui n'avaient consisté qu'en de tendres baisers échangés. Jamais son corps n'avait connu ce point de rupture si proche, elle en était désorientée, se demandant ce qui allait se passer par la suite si l'excitation augmentait. Allait elle se conduire comme la pire des salopes en sautant sur tout ce qui bougeait, qu'attendaient ils d'elle. Le pire fut à venir.

"Baisse toi en avant".

Il parlait peu, d'un ton monocorde, sans émotions.....ses ordres étaient tranchants, secs.

Elle baissa doucement le haut de son corps et se plia en deux, faisant attention à ne pas tomber, ses mains attachées ne lui facilitaient pas la tâche....

"Vous deux, à côté d'elle, qu'elle ne tombe pas".

Au moins elle pouvait se dire qu'il ne comptait pas l'abimer. Les deux esclaves se placèrent à ses côtés, un bras placé sous ses coudes, une main sous ses épaules. 

Pourquoi cette position ? 

Elle compris quand elle sentit qu'il lui écartait les jambes très largement au point qu'elle mis toute la force qui lui restait dans celles ci pour la soutenir, elle raidit ses muscles s'attendant au pire,  aucun son ne franchit la barrière de la boule, elle se forçait à ne pas gémir.

Sa poitrine résonnait des battements de son coeur qui s'affolait. Elle était excitée à l'extrême et en même temps avait une trouille pas possible. Un frisson froid remonta le long de sa colonne vertébrale.

Qu'allait il lui faire alors qu'elle était dans l'impossibilité de se défendre. Cette zone était l'une des plus sensible du corps humain et elle ne pensait pas pouvoir résister longtemps sans grogner si jamais il lui faisait mal.

Elle attendait la douleur quand ce fut une friction sur son anus qui la fit frissonner. Il était accroupi, recueillait sa cyprine et l'étalait sur sa petite rosace, consciencieusement, doucement, on aurait pu dire tendrement, mais il savait ce qu'il faisait. Il l'excitait car il fallait qu'elle reste chaude, très chaude pour ce qui allait suivre, ils avaient besoin d'une chienne en chaleur, prête à tout mais à qui, pour le moment tout serait refusé, elle allait vivre les prochains jours avec cette excitation en permanence jusqu'à faire d'elle un corps réclamant le sexe. Il fallait qu'elle perde la notion de tout ce qui constituait son être, sa vie, qu'il ne lui reste en tête que le moment où on lui accorderait le plaisir d'exploser mais ça c'était loin, très loin, le summum n'était pas qu'elle jouisse mais qu'elle leur procure leur dose de sadisme et pour cela ils étaient devenu fort mais pour le moment, il agissait doucement, frottant de la pulpe de ses doigts le petit orifice qui se refermait par spasmes nerveusement. La chaleur ressentit devant se diffusa derrière, il sourit quand il vit que doucement son anus restait ouvert plus longtemps, il força,entra une phalange. Elle sursauta. Il claqua sa fesse. Elle tremblait. Il savait pourquoi. Il enfonça plus loin son majeur, tourna, écarta pour y pousser l'index. elle partit en avant. Heureusement les deux filles la rattrapèrent avant que sa tête ne heurte le carrelage et la replacèrent devant l'homme qui attendait. Il posa les mains en éventail sur ses fesses, écarta les deux arrondis d'un geste un peu moins doux, caressa la partie offerte de ses pouces, de sa rosace à son clitoris ce qui eut pour effet de la liquéfier encore plus, il en profita pour la lubrifier à l'intérieur avec ses sécrétions avant de poser contre sa peau le long de sa raie quelque chose de froid qu'il enfonça doucement.....il le retira, le repassa sur sa fente, l'humidifia.

"Redressez la".

Les deux esclaves la relevèrent..

"Enlevez lui sa boule".

Jamais un mot de trop. Jamais une explication..

Elles obéirent sans tiquer,habituées à ne jamais discuter un ordre. Rien dans leurs yeux n'indiquait qu'elles compatissaient.

Le bâillon enlevé elle en profita pour se passer la langue sur les lèvres.

"Suce".

Quoi !!! elle regarda l'objet luisant de sa cyprine qu'il lui avait mit sous les yeux , elle pouvait dire qu'elle mouillait beaucoup effectivement. Alors pourquoi lui faire sucer. Toujours dans son dos, il amena donc ce qui ressemblait à un cône métallique à l'entrée de sa bouche, elle sentit son odeur et une vague de honte la submergea mais il força et l'objet entra en contact avec ses dents qu'il choqua, d'instinct elle laissa entrer l'intrus et fut obligée d'avaler ses propres fluides, elle en eut un haut le coeur mais il lui mit la main sur la bouche emprisonnant le tout dans sa paume, à moitié étouffée elle secoua la tête mais prisonnière de ses bras elle fut obligée de se calmer. Les deux autres n'avaient pas bouger d'un poil, le regard à terre. Il pourrait la tuer qu'elles ne lèveraient pas le petit doigt.

Sa main gauche toujours sur son visage, sa main droite caressait ses seins qu'elle malaxa sans douceur pour ensuite attraper un téton et le pincer entre pouce et index. Le coup d'électricité qui explosa entre ses cuisses la fit gémir avant qu'il ne resserre sa prise pour la faire taire. Il la repoussa ensuite dans sa position initiale.

Sa bouche fut libérée du cône en fer qui se retrouva à l'entrée de son cul où il fut introduit avec force. Il glissa bien humidifié mais ça n'enleva pas la douleur qu'elle ressenti au moment ou il écartait ses chairs. Elle eut l'impression d'être déchirée en deux. Le grognement qui remonta dans sa gorge fut stoppé net à cause du bâillon boule qui lui avait été remis. Le haut comme le bas était mis à rude épreuve. Son cerveau finissait par fatiguer de toujours lui ordonner de résister, ce serait si simple de tout accepter, d'abaisser les barrières et de les laisser faire ce qu'ils voulaient de son corps mais elle secoua la tête pour remettre ses idées en place, c'était quoi ces pensées, ça ne lui ressemblait pas d'abdiquer ainsi, il fallait qu'elle réagisse, son cerveau était dans sa tête pas dans son sexe.

Une fois le plug en place, il la redressa, admira son oeuvre.

"Remettez lui son collier et amenez la dans la grande salle".


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