Chapitre 26.

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NDA :

Salut !

Pour ce chapitre et les chapitres qui vont suivre lors de cette deuxième partie, certains dialogues seront en italien pour un peu de crédibilité, mais attention : je ne parle pas italien alors j'utilise un traducteur, ça ne sera donc pas parfait.

La traduction française sera entre parenthèses sauf lorsque le but sera que ni vous, ni Eleandra ne comprenne ce qui est dit, notamment au tout début de ce chapitre.

On se retrouve à la fin du chapitre comme toujours, bonne lecture !


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TW TORTURE/VIOLENCE –



Eleandra Woods.

Venise – Italie.

Jours 65 – 02h30.


Le doux soleil caresse ma peau, je dois tendre la main au-dessus de mon visage pour me cacher les yeux de ce même soleil et enfin pouvoir observer le lieu où je me trouve désormais.

J'ouvre les yeux, la lumière m'éblouit quelques secondes avant que je ne puisse découvrir les lieux, une rafale fait voler mes cheveux en liberté alors que je découvre, devant moi, les rues vénitienne.

Je ne peux m'empêcher de lâcher un éclat de rire en voyant ce lieu, l'Italie. Je fais un tour sur moi-même, faisant au passage flotter la robe d'été au tissu léger autour de moi, un sentiment de bien-être de légèreté me réchauffe le cœur.

Mais pourquoi a-t-il besoin d'être réchauffé ?

Eleandra !

Je pivote vers cette voix grave que je connais bien, mon sourire ne peut que s'élargir en voyant le blond devant moi, vêtu d'un pantalon et d'une chemise dans un tissu, semblerait-il, aussi léger que celui de ma robe. Hayes.

Je t'avais promis l'Italie, non ? Ajoute-il en me tendant une main.

Un nouvel éclat de rire m'échappe, un rire de joie. Je glisse ma main dans la sienne et il prend les devants, m'emmenant dans les rues, me montrant des lieux que je demande qu'à découvrir.

Nous ne sommes qu'une femme et un homme de plus ici, dans cette ville connue pour son romantisme, mais qu'importe, je suis avec lui et il a tenu sa promesse !

Hélas, vient un moment où je ne parviens plus à me concentrer sur ce que dit Hayes, ni même sur les lieux que j'admire tant, et ça, c'est à cause de deux voix italiennes plus fortes que les autres, je regarde tout autour de moi à la recherche de ces hommes qui parlent si fort, mais en vain, je ne repère personne.

I tuoi ordini ?

Un po' di acqua fredda per svegliarla.

Cette fois, j'ai l'impression que ces deux hommes viennent de me crier dans les oreilles, je me tourne vers Hayes pour lui demander s'il entend, mais une immense vague d'eau glacée me devance et la brutale réalité me rattrape.

Un froid m'envahit, contrastant avec la chaleur que m'a fait ressentir le rêve. Je m'étouffe presque tant la quantité d'eau qu'on déverse sur moi est conséquente.

PROJET  2.0 || TERMINÉE ||Où les histoires vivent. Découvrez maintenant