Nathan

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Lorsque je la vois entrer dans le chalet de Madison, son visage est nickel. Ses bleus ne se voient plus. C'est pour ça que les filles sont parties rapidement. Elles l'ont aidé à camoufler les bleus de son visage. Et lorsqu'elle retire son manteau, je la découvre dans une robe rouge totalement sublime sur elle. Ses cheveux sont bien coiffés même si son côté emmêlé me plaît. Ça change et ça lui va très bien. Son cou n'est plus tuméfié. Lui aussi, elles ont réussi à cacher les marques. On les voit encore un peu, mais ce n'est rien par rapport à ce qu'elles sont. Je m'approche d'elle et l'embrasse avec douceur. Je place ma main dans le bas de son dos et lui chuchote « Tu es très belle. Trop belle. Tu es un danger pour mon cœur ». Je ne sais pas combien de temps, je vais tenir pour ne pas la déshabiller pour lui faire l'amour. Je l'accompagne au salon où nous prenons l'apéritif. Elle s'installe à côté de moi dans le canapé et pose sa main sur ma cuisse. Son corps est contre moi et la chaleur de sa main va me faire bander. Il faut que je me change les idées. Je me lève rapidement pour faire croire que je vais jeter un œil sur la dinde. Sentant un problème, Maxine vient me rejoindre.

- Ça ne va pas ? Dit-elle la tête penchée.

Putain, cette femme, c'est comment me rendre dingue.

- Si tout va bien.

- Arrête. Je sais que ça ne va pas. Est-ce que j'ai fait ou dit quelque chose qui ne fallait pas ?

- Regarde-toi ma puce.

- Quoi ? Tu n'aimes pas ? Dit-elle tristement. J'avais pensé que......

- Putain ma puce, tu ne peux pas te coller à moi en posant ta main sur ma cuisse sinon je vais bander comme un malade devant les autres.

- C'est à ce point ? Dit-elle en souriant.

Content que ça te fasse rire, mais c'est très dur de ne pas te sauter dessus ma puce. Regarde-toi. Déjà qu'en temps normal, j'ai sans cesse envie de toi, mais là, c'est dingue. Je ne vais pas tenir longtemps.

Elle s'approche de moi, passe ses bras autour de ma taille, monte sur la pointe des pieds et dépose un long baiser. Aussitôt, je sens mon sexe gonflé dans mon pantalon.

- Stop !! Arrête ma puce. Tu vas me tuer.

- Crois-moi si tu le veux, mais je suis dans le même état que toi.

- Comment ça ?

Elle sourit et regarde autour de nous. Ne voyant personne nous regarder, elle attrape ma main et la passe sous sa robe pour la glisser jusqu'à son sexe que je sens déjà humide même au travers de sa lingerie.

- Bordel Maxine ! Je ne tiendrai pas si je te sais dans cet état.

- Il va pourtant falloir mon bébé. Dit-elle toute souriante.

Elle sourit davantage, retire ma main, pince une de mes fesses avant de retourner auprès des autres. Elle me laisse là, bandant comme un malade. Je me dirige vers la salle de bain et l'appel. Elle arrive en me questionnant d'un regard. Je l'attrape et l'enferme avec moi dans la pièce.

- Qu'est-ce qu'il.........

Je l'embrasse comme un malade lui coupant la parole. Elle enserre mon cou avec ses bras et se colle à moi. Je remonte sa jupe et glisse ma main sous sa lingerie. Elle est plus que mouillée et je grogne contre sa bouche.

- Nathan...... On ne peut pas. Pas ici.

- Je sais ma puce. Mais juste cinq minutes. Tu ne peux pas me laisser comme ça.

Elle caresse mon entrejambe avant de glisser sa main dans mon boxer pour en sortir mon sexe tendu. Elle me branle pendant que je caresse fortement son clitoris. Lorsque je la sens jouir, je plaque ma main sur sa bouche pour que personne ne l'entende crier. Lorsque mon tour arrive, j'ai juste le temps d'attraper des mouchoirs en papier pour éjaculer dedans tout en grognant puissamment. Je ne veux pas salir la robe qu'elle porte. Nous nous embrassons encore un peu avant de rejoindre nos hôtes. À peine avons-nous passé le virage du couloir qu'on entend Madison discuter avec du monde.

Je te veuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant