Nathan

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Je prends tout mon temps pour la préparer à prendre pendant très longtemps du plaisir. Mais nu contre moi, je commence à avoir des difficultés à tenir. J'essaie de penser à des choses qui pourraient faire redescendre ma queue, mais rien n'y fait.

- Nathan, je ne vais pas tenir. Viens.

- Chut ma puce.

- Nathan, je te jure que si tu ne viens pas, je vais jouir sous tes caresses et tes baisers.

- Hum...... Je voudrais bien voir ça. Ce serait une première pour moi.

- Et pour moi. Dit-elle en suffoquant.

Bordel ! Qu'est-ce qu'elle est excitante. Je remonte ma bouche en glissant ma langue jusqu'à son cou avant de reprendre sa bouche. Une de mes mains caresse sa fesse pendant que l'autre caresse son sein pour descendre jusqu'à l'élastique de son boxer de dentelle blanche. Je frôle sa chatte et elle frémit comme ci, elle se retenait de jouir. Ce qui m'attire davantage. Je réitère deux, trois fois ce mouvement et elle explose et pousse un long gémissement de jouissance contre mes lèvres. Putain ! Elle me tue. C'est la première fois qu'une femme jouit sous mes caresses sans toucher son intimité.

- Ne me dis pas que.........

- Je t'avais prévenu. Dit-elle en rougissant. Totalement adorable.

Je fais glisser son boxer pendant qu'elle fait tomber le mien et agrippe ma queue à pleine main pour commencer à me branler. Je l'attrape pour la déposer sur le lit au-dessus des pétales et là, je lui fais l'amour comme jamais. Nos corps transpirent sous l'effort que cela nous demande, mais je tiens le plus longtemps possible afin qu'elle puisse avoir plusieurs orgasmes. Après le quatrième, je la prends plus profondément et plus rapidement. Je sens que son corps est fatigué et pourtant elle résiste jusqu'à me donner mon plaisir.

- Encore une fois ma puce. Je viens. Dis-je en glissant ma main entre nous pour caresser son clitoris en faisant de petits cercles.

Son corps se cambre à nouveau et je sens qu'elle va jouir. Je la prends encore plus fort.

- Regarde-moi ma puce.

Elle ouvre les yeux et me regarde. Ses yeux se voilent sous l'orgasme au moment où ma queue se contracte en elle et que tout mon jus jaillit dans son petit corps. Ma vue se brouille pendant mon orgasme, puis je m'écroule sur elle. Je continue lentement des mouvements de va-et-vient tout en l'embrassant et en la gardant dans mes bras. Puis, je me laisse tomber à côté d'elle. Nous regardons un instant le plafond tout en essayant de reprendre notre rythme cardiaque avant de se regarder. Elle a un sourire qui me montre à quel point elle est heureuse. Je l'approche de moi et la place contre mon flanc et dépose un baiser sur sa tête.

- Ma puce. Je...... C'était.........

- Je sais.

- Non sérieux, c'était magnifique. En plus tu as joui sous mes baisers et mes caresses sans que je te touche intimement.

- Je t'avais prévenu.

- Je sais, mais je n'y croyais pas.

- Maintenant quand je te dirai que je viens, il faudra venir en moi.

- Pas sûr. J'ai aimé te voir jouir avec si peu venant de moi. Ça m'excite davantage. Tu es fatigué ?

- Un peu, mais j'ai encore envie de toi.

- Dors un peu ma puce, nous n'en avons pas fini.

- Toi aussi, tu dois dormir et qui sait, c'est peut-être moi qui te réveillerai pour reprendre notre activité.

- Quand tu veux ma puce. Je ne m'arrêterai jamais de te faire l'amour.

Nous nous endormons et avant de nous lever le lendemain, nous avons refait trois fois l'amour. J'ai même été surpris de la voir à califourchon sur moi, à me caresser avant qu'elle m'enfonce en elle. C'était un de mes plus beaux réveils.

Après avoir rangé un peu de notre cérémonie de mariage, nous nous attelons à préparer la soirée du nouvel an. Je m'attaque au repas pendant qu'elle fait la décoration et décore la table avant de me rejoindre. Elle se place derrière moi et passe ses bras autour de ma taille pour caresser mon torse sous mon t-shirt tout en m'embrassant sur le dos. Je l'attire pour qu'elle se retrouve devant moi. Je l'embrasse amoureusement. Bon sang, nous sommes enfin mariés.

Le jour de l'an est passé rapidement ainsi que la semaine qui suit. Nous n'avons pas arrêté de faire l'amour. Et j'en veux toujours plus. Je la veux, la désire, la sentir près de moi, mais hélas la réalité nous frappe en pleine tête. Je dois retourner travailler. L'université a déjà été sympa de m'accorder cette semaine sachant que je venais de me marier. Le premier jour a été très dur. Je regardais les heures, les minutes s'écouler avant de rentrer la retrouver. Une fois la porte franchie, elle me saute dans les bras, comme à son habitude, pour dire bonjour. Aussitôt mes mains passent sous son haut. J'ai besoin de sentir sa peau chaude sous mes doigts.

Puis le mois s'écoule rapidement et là, c'est elle qui reprend son travail. Je la sens stressée. C'est vrai que ça fait environ quatre mois qu'elle n'est pas retournée dans les rues aux côtés de ma sœur. Elle attrape son sac, me donne un long baiser qui en demande plus avant de s'écarter de moi, le souffle court. Puis, elle part travailler. J'appréhende son retour au poste. Je sais déjà qu'elle va faire équipe avec Madi, comme avant, mais arrivera-t-elle à gérer son stress. Là, maintenant, c'est moi qui stresse. J'espère qu'il ne lui arrivera plus rien. J'ai déjà fait cette prière pour Madi, à présent, je la fais pour Maxine. J'ai travaillé toute la journée avec une boule au ventre. À chaque fois que la porte de ma salle s'ouvrait, j'appréhendais de voir débarquer des policiers pour m'annoncer une mauvaise nouvelle. Je dois arrêter, mais c'est tellement dur.

Le soir arrive très lentement. Lorsque je rentre, je ne vois pas sa voiture. J'ouvre la porte et n'ai pas mon bonjour habituel. Ça aussi, il va falloir que je m'y fasse. Je pose mon sac, et viens prendre une bière avant de m'installer dans le canapé devant la télé en attendant qu'elle rentre. Lorsque c'est chose faite, je la regarde pour voir son regard. Je veux voir si elle se sent bien ou non. Elle s'approche de moi en souriant. Je viens pour me lever et l'embrasser, mais elle me fait rasseoir. Elle vient s'installer à califourchon sur moi, passe ses bras autour de mon cou et le respire un moment avant de reculer son visage pour me faire face et m'embrasser.

- Ça va ma puce ?

- Hum...... Tu m'as manqué.

- Toi aussi, tu m'as manqué. Et ta journée ?

- Plutôt calme. C'est très bien pour une reprise. J'ai rigolé avec Madi, mais la journée m'a paru longue. J'avais hâte de te retrouver.

- Pas autant que moi.

Elle reste contre mon torse et respire mon odeur. J'adore quand elle fait ça. Ses mains se placent sur celui-ci pendant que je l'enserre dans mes bras. On reste comme ça un long moment, à se sentir, se toucher, puis elle attrape ma bière pour en prendre une gorgée. Lorsqu'elle me regarde, elle me sourit et me tire la langue. J'adore son petit côté enfantin. Elle est tellement douce. Après avoir dîné nous allons nous coucher et nous faisons l'amour comme si c'était la première fois. Chaque fois que nous faisons l'amour, j'ai toujours l'impression que c'est la première fois et j'adore ça. Je sais qu'elle aussi, elle adore ça. Puis, je la prends contre moi pour qu'elle s'endorme. J'écoute sa respiration ensommeillée et me lève. J'ai besoin de la voir entièrement. Sa tête posée sur l'oreiller, ses cheveux étendus en vrac derrière elle. Elle est vraiment belle et douce. Quand je la regarde comme ça, je n'en reviens toujours pas de la chance qu'elle m'ait dit oui. Ses lèvres remuent. Elle dit quelque chose, mais aucun son ne sort. Je reviens auprès d'elle et elle doit le sentir, car elle vient se coller contre moi et m'entourer de son corps.

Je te veuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant