Chapitre 11

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CHAPITRE XI

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CHAPITRE XI

« Merci, Oli. Et n'hésite pas à dire mon prénom. » dit-il en ouvrant la porte, avec un grand sourire. « Elle comprendra rapidement. »














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Caius ferma la porte de sa boutique avec un soupir de satisfaction. Les feuilles parsemaient le sol autour de lui ajoutait une touche de couleur à la rue calme. Le soleil déclinait lentement à l'horizon, peignant le ciel d'une palette de teintes orangées et pourpres. Les parfums enivrants de l'air frais, lui procurant une sensation de paix et de satisfaction intérieure.

Alors que Caius se dirigeait vers le salon de tatouage d'Oli, une lueur déterminée brillait dans ses yeux. Il avait juré de se venger de Lyra. Il franchit finalement le seuil du salon, le cœur battant à tout rompre. Il balaya la pièce du regard, repérant finalement son ami, qui est aussi le patron du salon. Celui-ci était en train de discuter avec un client près du comptoir. Caius s'approcha d'eux, sa détermination retrouvée.

« Salut, Oli. » dit-il d'une voix calme mais ferme.

Le brun leva les yeux, un sourire chaleureux illuminant son visage lorsqu'il reconnut Caius. Il termina avec son client, puis se concentra sur son ami.

« Salut, mec ! Ça faisait un moment. Comment vas-tu ? »

Le blond lui rendit son sourire, mais son regard trahissait une lueur de détermination.

« Je vais bien, merci. Je suis juste venu te voir pour discuter d'un petit problème que j'ai eu avec l'une de tes employées. »

Oli arqua un sourcil, intrigué. Un problème ? Tous ses employés étaient des proches.

« Un problème avec l'une de mes employées ? Qu'est-ce qui s'est passé ? » demanda-t-il, son ton empreint de préoccupation.

Caius baissa légèrement la voix, s'assurant que personne d'autre ne les écoutait.

« C'est à propos de ton étudiante, Lyra. » murmura-t-il. « Elle m'a tatouée la dernière fois, et je dois dire qu'elle a été... assez désagréable avec moi. »

Le patron fronça les sourcils, son expression se durcissant légèrement.

« Lyra ? Désagréable ? » répéta-t-il, incrédule. « Ça ne lui ressemble pas. Elle est toujours de bonne humeur ! Mais je vais en parler avec elle. Merci de m'avoir prévenu. »

La rose essoreuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant