Chapitre 18

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CHAPITRE XVIII

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CHAPITRE XVIII

« Vas-y, ne réfléchis pas trop. Laisse parler ton instinct. » l'encouragea-t-elle, un sourire encourageant aux lèvres. « C'est comme ça qu'on commence. »











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Caius était assis à la table de sa cuisine, revêtu d'un t-shirt noir et d'un pantalon assorti. Il tenait un verre d'eau. Son chat vint frotter ses pattes contre ses jambes, miaulant doucement.

« Tu as faim, ma belle ? » demanda-t-il, observant avec affection son compagnon félin.

En guise de réponse, le chat émit un léger miaulement plaintif. Caius esquissa un sourire attendri et se leva pour récupérer le bol de croquettes de son chat. Il versa soigneusement les croquettes dans le bol. Il s'assura qu'il en avait assez mis puis déposa la gamelle au sol.

Il l'observa avec tendresse tandis qu'elle commençait à dévorer ses croquettes. Ses doigts glissèrent doucement sur le pelage soyeux de son chat pendant qu'elle mangeait.

Une fois qu'elle eut terminé, elle se frotta contre ses jambes, réclamant l'attention de son maître. Caius sourit et la prit dans ses bras, couvrant son pelage de baisers doux.

« Papa va partir mais il va rentrer, ne t'inquiète pas. » murmura-t-il d'une voix douce, ses yeux se remplissant d'affection.

Hera ronronna en réponse à ses caresses, exprimant son contentement.

Finalement, il se sépara d'elle avec réticence et la déposa sur le canapé. Enfilant ses baskets et sa veste, il quitta son appartement après un dernier regard en arrière vers son chat endormi.

Caius déambulait dans les rues nocturnes de la ville, où les lumières des lampadaires peignaient des ombres mouvantes sur le bitume. La nuit était déjà bien avancée, mais les rues n'étaient pas totalement désertes.

Bientôt, il atteignit le salon de tatouage d'Oli. Une silhouette se tenait devant l'entrée, éclairée par la lueur des néons environnants. Un sourire illumina le visage de Caius en reconnaissant Lyra, vêtue de noir comme à son habitude.

Lorsqu'elle l'aperçut, elle redressa la tête, son sac à dos sur les épaules, et s'avança vers lui d'un pas déterminé.

« Enfin ! » lui dit-elle. « Tu es en retard. »

« Pardon, mais mon chat ne voulait pas me lâcher. »

Lyra leva les yeux vers lui, un sourire étirant ses lèvres.

La rose essoreuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant