Chapitre 3

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CHAPITRE III

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CHAPITRE III

Chaque geste de destruction était un cri muet de désespoir, une tentative futile de libérer la rage qui bouillonnait en lui.


















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Caius s'éveilla dans sa chambre baignée par la lumière du matin. Les premiers rayons du soleil était filtré à travers les rideaux en lin blanc. L'atmosphère était imprégnée d'une douce tranquillité, renforcée par le parfum délicat des fleurs fraîches disposées dans un vase sur la commode en bois massif.

Son lit, drapé d'une couverture colorée et orné de coussins moelleux, était le centre de la pièce. À ses pieds, un tapis épais en fausse fourrure blanche ajoutait une touche de confort supplémentaire à la pièce. Sur les murs, des étagères accueillaient une collection de livres et de souvenirs, témoins des intérêts variés du blond.

À côté du lit, une table de chevet en pin était disposée. Une lampe y trônait ainsi qu'une photo encadrée de Caius et sa copine lors d'un séjour à la campagne. Un fauteuil confortable était placé près de la fenêtre, offrant un endroit idéal pour se détendre et profiter de la vue sur la ville.

Malgré la sérénité apparente de la pièce, l'esprit du blond était troublé par les tourments de ses pensées, laissant planer un voile d'anxiété sur cette oasis de calme.

Se levant avec une lenteur presque délibérée pour ne pas réveiller sa copine qui dormait à ses côtés. Il se dirigea vers la cuisine, tandis que ses pas silencieux firent craquer le parquet.

Là, sur le comptoir, Hera l'attendait, miaulant doucement pour réclamer son petit déjeuner. Il sourit légèrement en la voyant, un instant de réconfort dans cette matinée chargée d'incertitude.

« Salut, ma belle. » murmura-t-il en remplissant son bol de croquettes.

Hera frotta sa tête contre sa main, l'incitant à lui gratter derrière les oreilles. Caius prit quelques instants pour savourer cette simple interaction, s'accrochant à la familiarité apaisante de sa relation avec son fidèle compagnon.

Alors que Caius s'occupait d'Hera dans la cuisine, Lily émergea doucement de leur chambre et se dirigea vers la cafetière. Elle versa le café dans une tasse, puis se rapprocha de lui, cherchant à engager la conversation.

« Salut mon cœur. » dit-elle avec un grand sourire, espérant amorcer une discussion. « Bien dormi ? »

Il lui répondit distraitement, concentré sur Hera.

La rose essoreuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant