Chapitre 2

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"Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu'ils peuvent changer le monde, y parviennent "
   
Steve jobs

16 ans plus tard

— Où est-elle ?

— Monsieur, elle ne devrait plus tarder.

— J'espère pour toi, apporte-moi le téléphone, crache l'homme soucieux tout en se levant de sa chaise avec nervosité.

— Oui, monsieur.

Il lui tend le téléphone et sort de son bureau sans un mot.

L'homme soucieux compose un numéro et laisse sonner le téléphone. Le téléphone sonne, sonne et...

L'homme soucieux : allo ?

? : Oui, allo ?

L'homme soucieux : elle arrive !

Puis l'homme raccrocha aussi vite qu'il l'avait appelé.

Vous devez vous poser la question qui est-ce qui va arriver ? Et bien, à cela, je répondrais...

— Je suis rentré !!!


*

Quelques part d'autre

Mon corps se frissonne a chaque coup de vent, mes mains ne cesse de titiller l'air avec impassiance. Ma joie est a son extase, mon impassiance, elle, affirme les frisson du vent, elle les désirs avec envie, une envie tellement réjouissante que je ne peux là cacher.

Je suis tellement heureuse, de pouvoir faire mon grand retours, auprès de ma famille.

J'ai tant souhaité ce jour.

10 ans se sont écoulé depuis mon départ. 10 longues année étant loin d'eux.

Seul les jours de fêtes et les rendez-vous, mon permis d'avoir accès au retour.

Ils m'ont tous manqué, ma famille m'a tant manqué. Je n'ai qu'une envie courir jusqu'à chez moi pour les revoir, mais je ne peux pas, mes jambes, s'y refusent, malgré mes plaintes. Elles refusent d'avancé, elles refusent de sceller mon destin. Elles convoitent leur position.

Alors je reste la, debout, face a cette rivière d'eau trouble, près de ce magnifique arbre me faisant de l'ombre.

Ces large branches courbé tombe en direction du sol. Son immense tronc marronné m'impose sa grandeur mais face a son exigence je ne peux baisser la tête, ainsi mon regard reste de marbre sur ce sol pleureur. Sur sa verdure, sur cette couleur que seul la nature porte.

Je tente une seconde fois d'élancer mon pas mais toujours rien. Mes jambes sont catégorique, aucun mouvement ne leur sera due.

Dans ces condition, J'abandonne l'idée de quitter ce magnifique paysage et reprend mes pensées les plus profondes.

Mes chaussures ne cesse de jouer avec l'herbe humide. Elles veulent glisser sur ce sol de couleur vert.

le vert, était sa couleur favorite. Elle s'inclinait toujours devant cette nuance de couleur, elle s'émerveillait devant elle même. Elle avait même l'habitude de dire a qui voulait l'entendre que le vert surpasser toute les autres couleurs que pouvait porter ce mon-de...

- Dégage... tu me gâche la vue, siffle une voix d'homme.

Le chant des oiseaux a enveloppé les mots de l'inconnue. Seul quelque mots ont traversé mon audition. Des mots tellement crus que je me suis retourné vers lui avec une rapidité surprenante.

Du bout des doigtsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant