J'etais dans la salle de bain entrain de me brosser les dents avec un nouvelle brosse à dents que Clay m'a gentiment donné. Justin toque à la porte qui était entre ouverte.
-T'es prête?
Je crache le reste de dentifrice et me rince la bouche avant de les suivre et de descendre les escaliers. On arrive dans la cuisine où madame Jensen lisais le journal et son mari était entrain de se faire du café, elle lève la tête en souriant.
-Bonjour les garçons..Et..Aaliyah?
-Bonjour monsieur et madame Jensen.. Je dis timidement avant que Clay sauve la situation.
-On est rentré tard hier soir et sa voiture a eu un problème pas loin d'ici. Je me suis dis que c'était préférable qu'elle reste, je t'aurais bien demandé la permission mais vous dormiez..
Elle referme la bouche et me souris.
-T'as bien fais, tu es la bienvenue ici.
-On devrai penser à ouvrir une auberge ici, on en tirerai des bénéfices. Dis le père ironiquement avant de siroter son café sous le regard noir de sa femme.
-Aaliyah ma chérie et si tu allais te trouver des vêtements dans ma garde robe? Tu ne va pas aller au tribunal avec tes vêtements de la veille.
-Oh..Euh je veux pas déranger. Je peux rentrer chez moi pour m'habiller.
-Jette un coup d'œil et si tu trouve rien du tout Clay te ramènera chez toi. Elle me propose.
J'acquiesce en souriant poliment avant de monter les escaliers pour regarder dans le dressing de la mère de Clay. J'ai réussi à trouvé un jean et une chemise parmis toute ces jupes et ces tailleurs de femme d'affaires. Je pars m'habiller dans la salle de bain et en enfilant le jean j'entends les garçons remonter dans « leur » chambre. Je me regarde une dernière fois dans le miroir et sors de la salle de bain pour aller rejoindre Jensen et Foley.
-T'y crois ça ? Justin ne sait pas faire de cravate. Se plaint Clay.
Je leurs souris et rie légèrement. Je m'assois sur le lit et mets mes chaussures.
-Ah ouai? C'est bizarre j'ai le souvenir que tu venais tout le temps en costards? J'ai du rêver. Je dis sarcastiquement.
Ils sourient tout les deux et je lève la tête une fois que j'ai finis mes lacets. Justin se retourne en souriant.
-Tu devrais en porter plus souvent. Je le regarde en lui souriant doucement.
Madame Jensen appelle Clay et il sort de la chambre pour la rejoindre en bas. Justin enfile sa veste et se regarde dans le miroir pendant que je regardais l'heure sur mon téléphone.
-'Liyah..? Il m'appelle en se regardant dans le miroir.
Je lève les yeux vers lui et il se retourne pour me regarder.
-Ce que t'as dis hier soir, c'était vrai?
-De quoi tu parles?
-Toi aussi tu vois Hannah? Comme Clay?
Je baisse la tête, je voulais pas qu'il me prenne pour une folle.
-Juste quand je dors..Dans mes rêves tu sais..
Il me regarde comme si il essayais d'y croire mais une partie de lui ne semblait pas gober ce mensonge.
-Je te jugerais pas tu sais..Je suis pas vraiment en position de le faire. Il rie légèrement.
-Je vais bien, je te le promets.
Il s'avance vers moi et me serre dans ses bras. Je ferme les yeux contre son torse et le serre en retour.
-Aller viens on va rejoindre notre justicier. Sa blague me décroche un rire et on sors de la chambre. On descend les escaliers et on croise madame et monsieur Jensen.
-Très bon choix de vêtements, Aaliyah. Je lui souris et la remercie. Vous pouvez déjà y aller avec la voiture de Clay on vous rejoindra la bas. Il vous attends sous le perron.
Moi et Justin acquiesçons, il prends les clefs de la voiture et j'ouvre la porte d'entrée. Justin sors en premier et explique ce que la mère de Clay venais de nous dire. Il se dirige vers la voiture et je passe à côté de Clay pour lui ébouriffés les cheveux qui lui donnais un air un peu trop coincé. Il fais un grimace avant de lever les yeux au ciel. On se retourne vers Justin quand on remarque qu'il tient un papier dans sa main. Il le retourne vers nous et nos visage se décomposent.
« Tu parles, tu crèves. »
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Love or Friends? Tome 1
FanfictionAprès sa mort, Hannah à laisser des cassettes avec chaque raison de son suicide. Malheureusement la plupart des cassettes sont destinées à presque tout mes amis. Toutes ces personnes qui autrefois m'ont aidé quand j'allais mal étais les raisons de m...