14 | Otage

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Raven

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Raven



Quand une lumière blanche éclatante frappa mes paupières fermées, je grognai, essayant de bouger, mais je me rendis vite compte que j'étais immobilisée.

— Petit corbeauuu ?

Et c'est reparti pour un tour...

Je plissai les yeux et les ouvrai lentement. La lumière était si intense que je me contentai de les entrouvrir.

— Baisse la lumière, enfoiré.

— Ah ! Tu pensais être dans un hôtel cinq étoiles, connasse ? Eh bien, je vais l'augmenter encore plus, cracha-t-il. Forcée de fermer à nouveau les yeux, je pestai intérieurement.

— J'avoue que j'aurais pu y aller plus doucement avec la seringue. Ah, tu as dormi pendant des heuuuures ! Je m'ennuyais, moi.

« Oui Raven gngngng écoute-toi, maintenant, quand tu as des signaux gngngng ! »

Tu m'étonnes.

Enfoiré.

Fils de pute.

Ça n'arrive qu'à moi, ça ! Le moment où je pars, la chose en question arrive, quoi...

Au moins, Vicky et les autres n'ont rien...

Face à mon silence, il s'énerva. D'un geste brusque, il envoya son poing dans la lampe, la faisant voler plus loin.

Bon chien.

— T'es contente ? grinça-t-il, alors que j'ouvrais à nouveau les yeux, maintenant que la lumière avait disparu.

— Qu'est-ce que tu me veux ? crachai-je. T'en a pas marre de venir kidnapper la même personne, espèce d'enfoiré ?

Mais tu es ma personne préférée ! Et... j'ai tu as tort, parce que je me renouvelles, attends un peu..., gloussa-t-il, en se rasseyant sur une petite chaise devant moi.

Moi aussi, j'étais assise, les poignets liés derrière le dos, fixés à une chaise. Je tentai de tourner mes poignets, mais je réalisai que je ne pourrais pas me libérer facilement. Jetant un coup d'œil autour de moi, Alessio s'installait confortablement sur sa chaise, je compris que l'histoire allait être longue. Par ailleurs, j'étais dans une pièce, probablement une chambre vide, car cela ne ressemblait pas à un sous-sol. Le store était tiré, et seule la lumière du plafond éclairait la pièce.

POISONOUS | T1&T2 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant