Chapitre 25

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                                        Gloria
Je sors de la chambre d'hôpital sous le regard énervé de Pedri, il ne sait pas qu'il est juste trop mignon quand il fait ça..il ne fait absolument pas peur. Je me retrouve seule avec Victor le médecin de Pedri, quand je suis seule avec une sorte de tension se met entre nous, je ne sais pas si c'est moi qui délire ou si c'est lui qui l'a créé mais j'étouffe.

Victor: Alors, je vais devoir passer tout les jours chez vous, je suppose que vous vivez avec lui. Pour des visites quotidiennes jusqu'à ce qu'il reprenne les entraînements.

Gloria: oh mais ne vous en faite pas, Pedri a déjà son médecin à domicile. C'est très gentil.

Cet homme me déstabilise, il est si grand de au moins 1m85, assez musclé, brun avec un regard mi ténébreux mi dévorant. Son genoux vient remonter l'ouverture de mes deux cuisses et sa main glisse le long de ma colonne vertébrale, sa bouche frôle mon oreille, ça y est il va devenir lui aussi un problème..

Victor: J'insiste. Demain à 10h je serai là, soyez là aussi. dit il contre mon oreille.

Il me lâche et je suis déjà honteuse de ne pas m'être retirée moi même, la sensation qu'il me procurait était plus que divine..
Il rentre avant moi dans la chambre où Pedri se trouve.

Victor: Je viendrais pour des visites quotidiennes chaque jours jusqu'à votre reprise de vos entraînements monsieur Gonzalez.

Pedri: J'ai déjà un médecin à domicile, c'est rare quand je dois venir à l'hôpital. C'est mieux si c'est lui qui s'occupe de moi.

Victor: C'est plus sûr si c'est moi, je vous ai pris en charge dès le premier jours de votre accident.

Pedri: Expliquez mon cas à mon médecin traitant.

Victor: Demain 10h chez vous. dit il avant de sortir de la chambre.

Pedri a ce regard des gens calmes habituellement mais quand ils s'énervent vaut mieux ne pas être dans la même pièce..c'est le cas.

Pedri: J'y crois pas. Même les médecins commencent à vouloir se taper ma copine, ça s'arrête jamais. dit il en se levant du lit brusquement.

Gloria: Pedri, eh...calme toi. Reste assis. dis je calmement. C'est pour ton bien, si tu veux reprendre le foot, fais ce qu'il te dit.

Pedri: C'est pour toi Gloria. Tu le sais, je le sais,tu as vu la manière dont il te regarde, limite il te déshabille du regard.

Gloria: Et malheureusement pour lui, je me déshabille seulement devant un certain Pedro Gonzalez Lopez..dis je en lui prenant les joues pour l'embrasser.

Il sourit contre mes lèvres, heureuse de lui avoir remis le sourire. Je l'ai ensuite aidé à se lever pour rentrer à la maison. C'est moi qui conduit super..
****
Je me suis occupé de Pedri comme ci c'était mon enfant, je lui ai fait à manger, donner ses médicaments, lui ai mis son pyjama plutôt simple il ne met qu'un short pour dormir. Et Merci !
J'al fini par m'assoir à côté de lui dans le canapé, il éteint son téléphone à ma venue, c'est bien aussi cette partie de lui que j'aime, son écran n'est jamais plus important que moi, c'est bien le premier homme à faire ça pour moi.

Gloria: Ça va ? Tu veux de l'eau ? De l'eau c'est vrai tu dois t'hydrater. Je vais aller te ch..dis je en me levant avant qu'il ne m'attrape par le poignet.

Pedri: Toi est-ce que ça va ? T'as pas envie de te poser, ici près de moi, un film et une couverture, là j'irai bien. dit il en m'asseyant sur lui.

fuis moi, je te suis...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant