Je fixe un point inconnu,je m'en toujours pas compte de ce qu'il vient de ce passer,je sens Nazim me parler.
Nazim : Ohhh Chafiya je te parle ? Tu rêve ou quoi ?
Moi : Hein ? Quoi ? Quoi ?
Nazim : Je viens de te dire quelques choses mais tu ne me réponds pas depuis 5 minutes,tu ne m'a meme pas jeté un œil.
Moi : Je suis désolé j'étais dans ma pensée profonde.. mais je t'écoute qu'est-ce que tu me disais ?
Nazim : Ne t'inquiète pas pour ces individus cagoulés,Hicham ne les laissera pas te prendre.
Moi : Ah oui ? Tu es sûr parce que Hicham a tellement la haine contre moi qu'il est-
Je n'est même pas finis ma phrase qu'il apparaît devant moi.
Hicham : Que je suis capable de te voir entrain de faire bouffer par des Kangal.
Moi : Qu'est-ce que c'est encore ?
Hicham : Des chiens,d'une race trucs,ils sont très dangereux tu veux les voir ?
Moi : Nous sommes en Italie qu'est-ce que dés chiens turc viendrait faire ici ?
Nazim : Crois moi qu'il y en a ici.
J'ouvre grand les yeux.
Nazim et Hicham sort de la cuisine et je les suis,on prends des escaliers,il fait tout noirs,Nazim mais le flache.
Jusqu'à qu'on arrive devant une porte.
Nazim : Place au femme.
Moi : Non au homme.
Nazim : C'est grâce à qui que je suis née ?
Moi : Mais le rapport ?
J'avance devant d'un pas déterminé,Hicham il ouvre la porte,et j'écarquille mes yeux.
Il y a huit gros chiens.
Hicham me pousse et je rentre dans la petite salle,les chiens ce mettent à aboyer.
Moi : Non arrête Hicham j'ai peur.
Nazim : Zehma il sont plus grand que toi ?
Hicham : Elle fait la taille d'un moustique elle aussi.
Moi : Ahaha trop drôle,je ne veux pas me faire manger.
j'allais partir quand Hicham me bloque le passage.
Je croise mes bras contre ma poitrine.
Moi : A quoi est-ce que tu est entrain de jouer sérieux ?
Hicham : J'ai juste à appuyer dans ce bouton et les chiens ce détacheront et ils te boufferont comme de la viande fraîche.
Moi : Tu n'est pas drôle,tu mérites de te faire bouffer à ma place,j'ai pas que sa faire de rester ici.
Hicham : Le mot magique ?
Moi : Ta gueule ?
Il contracte sa mâchoire,il me prends par le cou.
Nazim : Aller Hicham lâche la ?
Hicham : Ta gueule Nazim,j'ai horreur qu'on me manque de respect.
Moi : Pourtant toi tu as le droit.
Hicham : Ne me compare pas à toi.
Je souffle.
Moi : Est-ce que tu peux me lâcher maintenant ?
Ces yeux sont plongés dans les miens.
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Chafiya : Est-ce que un jour j'aurais droit au bonheur ? [En réécriture]
Action« 𝐴̂ 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒́𝑠𝑡𝑒𝑟 𝑜𝑛 𝑎 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑠'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟. » HISTOIRE 100% fictif.