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Aria : Tu croyais vraiment réussir à t'enfuir ?

Antonio : Tu n'est pas très maline,car ici c'est une zone interdite,au moindre mouvement pour essayer de s'échapper ou même de parvenir à entrer il y a un signal d'alarme ainsi que des caméra de surveillance.

Azera : Achevé la,jusqu'à qu'elle perdre le souffle !

Moi : Non !! Non !! Je..je..ne voulais pas.. s'il vous plaît !

Azera : Tu n'allais pas sortir d'ici vivante,car la phase 5 était que tu finisses six pied sous terre avec ton père !

Azera finit par sortir en furie ainsi que c'est deux toutous.

Assassin : Alors Chafiya comme on se retrouve,la nuit dernière elle t'a plus ?

Moi : Me faite plus de mal..j'en ai déjà subit comme ça..je n'est pas le moindre répit par votre faute..

Mes larmes coulent à abondamment..

Assassin : Le maître nous a indiqué quelque chose alors nous l'obéissons.

Ils s'approchent de moi d'un pas rapide..

Je hurle.

Un des hommes passe ses mains sur ma poitrine,et il se met à la touchée,je me sens paralysée..

Je n'arrive plus à bouger..

Non..s'il vous plaît pas encore sa..

Faite que sa soit cauchemar,et qu'ils ne vont pas commettre ces actes à cinq..

Moi :*Pleure*NON..ARRÊTEZ ME..TOUCHÉE PAS..JE VOUS EN SUPPLIE..ARRÊTEZ..

Ils se mettent a toucher ma poitrine comme des hommes affamés..

Mes cris et mes pleurs résonnent dans cette chambre..mais ils font la sourd d'oreille.

Un des hommes enlève légèrement ma culotte..

Je suis coincée, enchaînée, incapable de me débattre. Mes bras et mes jambes sont entravés, comme si des poids invisibles m'empêchaient de bouger. Je me sens comme une étoile prisonnière, brillante mais immobile, rêvant de liberté. Mon cœur aspire au bonheur, mais ces chaînes m'en isolent, me laissant dans l'ombre de mes désirs.

Je hurle pour qu'il puisse arrêter,mais rien y faire..

Je crie, ma voix se perd dans le vide, mais je continue d'appeler, désespérée. Mes pleurs sont des larmes de détresse, un torrent d'émotions que je ne peux contenir.

Chaque goutte qui coule sur mes joues témoigne de ma souffrance, un cri silencieux pour ceux qui me font du mal. Je veux qu'ils comprennent l'impact de leurs actes, qu'ils réalisent à quel point leurs paroles et leurs gestes m'enchaînent encore plus fort.

Je suis là, immobile, prisonnière de leur cruauté. Dans chaque hurlement, je cherche à libérer ma douleur, à faire entendre mon appel à l'aide.

Mes larmes ne sont pas seulement des signes de faiblesse ; elles sont le reflet de ma lutte. J'espère qu'un jour, quelqu'un verra au-delà des chaînes qui m'entravent et comprendra que chaque cri est une supplication pour que la douleur cesse, pour que je puisse retrouver la lumière du bonheur qui me semble si lointaine.

Leurs voix résonnent, pleines de mépris, et je réalise qu'ils prennent plaisir à ma souffrance. Je tente de reculer, mais le mur froid me rappelle que je n'ai nulle part où fuir. Mon esprit s'emballe, cherchant une échappatoire, mais chaque option semble se dérober sous mes pieds.

Puis, dans ce chaos, une lueur d'adrénaline s'allume en moi. La colère, bien que faible, commence à se mêler à la peur. Je veux leur résister, leur montrer que je ne suis pas une proie facile. Je les fixe avec défi, mais l'angoisse me paralyse. Je suis coincée entre l'envie de me battre et la crainte de ce qu'ils pourraient faire.

Chafiya : Est-ce que un jour j'aurais droit au bonheur ? [En réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant