Chafiya :*Pleure*POURQUOI J'AI PAS LE DROIT D'ÊTRE HEUREUSE COMME SHERYNE ET AMAYA ?
Elle marque une pause.
Chafiya : ELLES..ELLES SONT LEURS DEUX PARENTS EN VIE ELLE PASSE LEURS JOURNÉES À SOURIRE ET PAS MOI ? POURQUOI ? C'EST QUAND J'AURAIS DROIT AU BONHEUR ? EST CE QUE JE LE MÉRITE ? JE ME DEMANDE QU'EST-CE QUE J'AI PU FAIRE..
Elle éclate encore une fois en sanglots et elle me sert encore une fois fort elle veut pas me lâcher.
Elle est tellement détruite au fond.
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Je la fixe,sa se voit vraiment qu'elle n'est pas dans son état..chaque jour elle essaye de montrer qu'elle va bien mais au
contraire elle est mal.Moi : Un jour le rayon de soleil apparaîtra dans l'obscurité malen' kaya golova.(petite tête.)
Je caresse sa joue.
Chafiya : J'attends ce jours depuis toute petite..mais il ne vient pas..
Elle recolle sa petite contre mon torse.
Moi : Ta kiffer mettre ta petite tête contre mon torse.
Elle rigole,et elle me regarde droit dans les yeux,un sourire a paraît sur mon visage.
Moi : Demain je vais passer chez toi,je dois prendre des choses.
Elle fronce les sourcils.
Chafiya : Hein ? Qu'est-ce que tu veux prendre ?
Moi : Toutes les lames,sans laisser une seule dans les parages.
Chafiya : Non..s'il te plaît j'en ai besoin.
Moi : Pourquoi ?
Chafiya : Mes frères aussi.
Moi : J'en doute,je suis pas bête je sais très bien ce que tu compte faire avec.
Chafiya : ...
Moi : Tu va te faire des centaines de cicatrices,et en sachant que tu es au plus bas je préfère les prendre,avant que tu puisses faire une énorme connerie.
Une larme coulent sur sa joue.
Chafiya : Pourquoi tu fait ça ?
Je fronce les sourcils.
Moi : Faire quoi ?
Chafiya :*Pleure* Tu me déteste plus que tout,t'es censé entre content que je me fasse du mal,alors que non tu m'interdis.
Je soulève légèrement son menton.
Moi : Je veux pas que tu touche à cette lames,encore moin si c'est pour détruire ton corps.
Chafiya : Pourquoi tu me déteste ? Pourtant je t'es rien fait moi..
Moi : Je te déteste un peu moin,je deviens habitué parce que je vois tout le temps ta petite tête.
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Chafiya : Est-ce que un jour j'aurais droit au bonheur ? [En réécriture]
Acción« 𝐴̂ 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒́𝑠𝑡𝑒𝑟 𝑜𝑛 𝑎 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑠'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟. » HISTOIRE 100% fictif.