[...]Je me réveille brusquement,je suis étourdi,tout mon corps entier,me fait mal,ma vision et encore flou je ne vois quasiment rien.
Le moindre mouvement que j'essaye de faire et comme une nouvelle torture.
Je me redresse difficilement,et je remarque que je suis toujours attaché avec ses énormes chaînes en fer.
Ce qui fait que de remonter mon stresse.
Moi : A L'AIDE ! SORTEZ MOI DE-
Une femme met sa main devant ma bouche,je remarque que c'est un médecin.
Médecin : Ce n'est pas la peine de crier madame,je suis là pour vous soigner.
Moi : Non ! Je n'est pas besoin qu'on le soigne.
Médecin : Sentez vous bien ?
Moi : Non,s'il vous plaît aidez moi à sortir d'ici..je suis en danger,je ne peux pas rester ici il risque de me faire du mal,ou pire encore..de me tuer..
Médecin : Je ne peux pas..je suis sous les ordres de Azera pierez,et mon devoir est de vous soigner.
Moi : NON ! JE N'EST PAS BESOIN QU'ON ME SOIGNE QUE VOUS NE COMPRENEZ PAS ?
Ce n'est pas possible,chaque personne ici présente,sont sous les ordres de Azera,ils ne peuvent rien faire à part l'obéir.
Ils sont comme des esclaves surveillés 24h sur 24.
Médecin : Je suis sincèrement désolé mais je ne peux pas vous sortir de la.
Moi :*Pleure* Si,bien sur que si vous pouvez me sortir d'ici..
Médecin : C'est une zone interdite,si nous mettons le moindre pied dehors ou,quelqu'un essaye de venir ici,une alarme ce déclenchera automatiquement.
Moi : Mais il y a bien à moyen de me faire sortir d'ici..
Médecin : Malheureusement non..
Au même moment,j'entends un bruit de bâton taper sur la porte,je me raidis..
Le médecin m'a l'air stressé elle aussi..
Médecin : Je suis désolé il faut que j'y aille..
Elle me regarde avec pitié et compassion,elle sort et ils y'a tout les larbins de Azera,qui regarde le médecin sortir.
Médecin : C'est bon j'en ai finis avec elle.
Garde : Très bien,nous allons l'emmener.
Antonio : Ou ça ?
Garde : Le maître a dit,nous passons à face 3,car elle a refusé de nous donner des informations la famille Ben Ali.
Antonio : Oulala,j'aime beaucoup.
Il me fait un sourire provocateur et il s'approche de moi.
Il me caresse la joue,je tremble instinctivement quand je sens sa ma main sur ma peau.
Antonio : T'inquiète pas tu va bientôt tu retrouver ton papa.
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Chafiya : Est-ce que un jour j'aurais droit au bonheur ? [En réécriture]
Acción« 𝐴̂ 𝑓𝑜𝑟𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑐𝑒 𝑑𝑒́𝑡𝑒́𝑠𝑡𝑒𝑟 𝑜𝑛 𝑎 𝑓𝑖𝑛𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑠'𝑎𝑖𝑚𝑒𝑟. » HISTOIRE 100% fictif.