Alma [Deuda]

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PDV Julio.

Dans le noir de ma cellule, je ruminais ma colère. Mon esprit etait comme un volcan en éruption, crachant des pensées noires. La trahison me brûlait comme un acide, et la peur me rongeait comme un ver.
Cela fait trois jour que j'attends mon soi disant proccès au fond de cette cellule. J'essaie de garder mon sang foi. Je sais très bien que cette "justice" rendu aux victimes de mes actes illegaux est commandité de très haut. Je sais aussi que Garcia n'est rien d'autre qu'un pion et que celui qui dirige tout cela est beaucoup plus puissant. Ils ont voulu se debarasser de moi parce que j'etais beaucoup trop influent et je les ai laissé faire sans même m'en rendre compte.

Ils ont tout prit.. Aujourd'hui je n'ai plus rien a perdre. Des pas resonne au fond du couloir, assis sur un matelas miteux je lève la tête vers le policier qui a ouvert ma cellule.

- on y va!

Je me lève et le laisse me menotté.
Il me conduit dans un bureau ou des hommes en cravate, costume me regarde fièrement. Je connais la plupart d'entre eux pour leur avoir financer.

- messieurs! Je dis en m'asseyant alors qu'il se tiennent tous debout.

Le policier sort et je les regarde un a un.

- te voila fait comme un rat julio.

Je ne dis rien. Celui qui a parler est le procureur Nivaldo Aroyo.

- tu sais que tu vas passer ta vie en prison. Me demande l'autre vermine qui se fait appeler chef de la police Prospèro.

- je l'espére pour vous en tout cas.

- tu crois nous faire peur tu ne vaux plus rien. Tu n'a rien!

Je les regarde avant de me mettre debout. Ils reculent et je souris face a la peur qui apparait puis disparait sur leur visage.

- je vous demanderais de reflechir a ce que vous faites...

- tais toi! Tu ne nous fais plus peur. C'est AS qui controle tout maintenant.

AS?...

- tu es condamné a 75 ans de prison julio, tu seras transferer aujourd'hui même au penitencier National.

- c'est ça votre procès?

- tu es beaucoup trop dangereux pour qu'on se deplace avec toi, on ne veut pas prendre de risque...

- hijo de puta! (Fils de p*te)

Je me jette sur eux brusquement mais je me fais maitrisé et embarqué de force dans une grande voiture. Les journalistes nous arrêtent et posent des questions, j'ai une folle envie de tous les buter. Je rentre dans la voiture qui demarre.

[...]

Ils ont prit tout mes bijoux même ma bague de fiançaille, qui etait le dernier souvenir que j'avais de Sarah.
J'ai enfilé cette tenue jaune abricot et on m'a conduit dans une cellule.

4 hommes, musclés et tatoués me font face.

- julio n'est ce pas.

J'ai pas le temps de parler qu'ils se jettent sur moi. J'essaie de me defendre mais ils sont beaucoup trop nombreux je m'ecroule au sol, alors qu'il continu de me frapper.
Les autres font du bruit dans leur cellule et alors que je vais perdre connaissance les gardes arrivent et me trainent dehors.

Un certain Gariko me bousculent et demande aux autres de le laisser seul avec moi.

- j'ai un message de la part de Garcia.

Il me pousse a l'interieur d'une cellule miteuse,
on dirait un cachot.

Il ferme la lourde porte derriere moi en me disant:
" bienvenue en enfer mon ami"