Chapitre 25: L'Alpha et la Déesse

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Pov Alec

Sa louve est magnifique, mon loup intérieur est terriblement excitée et il a hâte de la rencontrer et de la dragué comme jamais, vu que se mongole d'humain n'est pas capable de le faire !

Dans la profondeur de la forêt, où les sapins s'élèvent majestueusement vers le ciel, une ambiance envoûtante règne. Les rayons du soleil filtrent à travers les branches, créant un jeu d'ombres et de lumières sur le sol recouvert de feuilles mortes. L'air est frais, chargé des senteurs terreuses et résineuses des conifères, mélangées à l'arôme doux et sucré des fleurs sauvages qui osent percer le tapis de verdure. Chaque pas résonne dans ce sanctuaire naturel, un murmure de vie qui s'éveille autour de moi.

Je suis "La Menace", le loup intérieur d'Alec, et je sens l'excitation vibrer dans chaque fibre de mon être. Mon pelage noir comme la nuit absorbe la lumière, tandis que mes yeux, d'un rouge sang incandescent, scrutent chaque mouvement dans cette forêt. Je suis un prédateur, un séducteur, et aujourd'hui, ma proie n'est autre que Layla, la louve intérieure de Lilla. Elle est magnifique, une créature de grâce et de puissance, et je ne peux m'empêcher de ressentir une attraction irrésistible pour elle.

Alors que je m'élance à sa suite, le bruit des feuilles craquant sous mes pattes résonne comme une mélodie sauvage. Les oiseaux chantent dans les hauteurs, leurs trilles se mêlant au doux murmure d'un ruisseau qui serpente à travers les arbres. Chaque son, chaque odeur, chaque mouvement me rappelle que je suis dans mon élément. Layla, avec sa démarche élégante, danse entre les troncs, sa fourrure scintillant sous les rayons du soleil. Elle est une déesse de la forêt, et je suis déterminé à la conquérir.

Mon loup intérieur est un grand séducteur, un maître du jeu de la cour. Il sait comment charmer, comment captiver. Je sens son énergie pulser en moi, me poussant à me montrer sous mon meilleur jour. Je suis l'alpha ici, et je vais lui prouver qu'elle ne peut pas résister à mon charme. Je la suis de près, mes muscles tendus, prêt à bondir à tout moment. Elle commence à courir, ses pattes effleurant le sol avec une légèreté incroyable. Je ne peux m'empêcher de sourire, un sourire carnassier, alors que je me lance à sa poursuite.

La course est un ballet sauvage, une danse entre deux prédateurs. Je sens le vent fouetter mon visage, emportant avec lui les odeurs enivrantes de la forêt. Layla est rapide, agile, mais je suis déterminé à la rattraper. Chaque foulée me rapproche d'elle, et je peux presque sentir son souffle chaud sur ma peau. Mon cœur bat à tout rompre, une mélodie de désir et de défi.


Alors que nous filons à travers les arbres, la forêt s'éveille autour de nous, un véritable tableau vivant. Les rayons du soleil percent le feuillage dense, créant des éclats dorés qui dansent sur le sol, illuminant les petites fleurs qui s'épanouissent timidement, leurs pétales délicats se balançant doucement. L'air est chargé d'une odeur douce et terreuse, mêlée à celle des résineux, une fragrance qui évoque la fraîcheur de la nature. Les fougères, avec leurs feuilles délicates, dansent au gré du vent, produisant un léger bruissement qui se mêle au chant des oiseaux, dont les mélodies résonnent comme une symphonie naturelle.


Les insectes bourdonnent autour de nous, ajoutant une touche de vie à ce tableau idyllique, tandis que le murmure d'un ruisseau lointain se fait entendre, apportant une note apaisante à l'atmosphère. C'est un endroit où la magie opère, où chaque instant est chargé d'une intensité palpable, comme si la forêt elle-même respirait avec nous.

Layla ralentit un instant, me lançant un regard par-dessus son épaule. Ses yeux brillent d'une lueur espiègle, et je sens mon cœur s'emballer, battant à l'unisson avec le rythme de la nature qui nous entoure. C'est un défi, une invitation à la suivre encore plus loin dans cette forêt enchantée, où chaque pas nous rapproche d'un secret caché. Je ne peux pas résister. Je redouble d'efforts, mes pattes frappant le sol avec force, le bruit de mes pas se mêlant à celui des feuilles qui crissent sous nos mouvements.

Je la rattrape enfin, et nos regards se croisent. Dans cet instant suspendu, où le temps semble s'arrêter, je sais que quelque chose de puissant se tisse entre nous, comme un fil d'or reliant nos âmes au cœur de cette forêt magique.

𝑳𝒂 𝒎𝒂𝒍é𝒅𝒊𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒍𝒐𝒖𝒗𝒆Où les histoires vivent. Découvrez maintenant