Un Lourd Héritage.

L.H-Chapitre 12, Embarrasser.

Louise était toujours dans ce fauteuil, quant on vint la chercher pour l'amener dans les appartements du Baron. Elle entra dans une chambre assez féminine. On lui montra une salle de bain, en lui donnant de quoi se changer. Elle entra dans la douche, voyant l'eau se grisé. En sorti rapidement, mis la chemise de nuit qu'on lui avait apporter et alla se couché.

Le baron vint lui même la réveiller. Au réveil, elle ressemblait à une enfant, avec ces cheveux en bataille. Il lui posa un sac, lui disant que c'était un cadeau de fiançailles, puis sortit. Elle était attendue pour prendre le petit déjeuner avec lui. Elle se leva, regarda à l'intérieur du sac. Il y avait des sous- vêtements, une petite robe et des petites chaussures. Elle se changea, puis alla dans la salle à manger, ou l'attendait le Baron et ses hommes. Une chaise resta vide,juste à coter du Baron. Quant à elle, elle était placé en face de cette chaise vide. On lui servit un café bien chaud. Elle fut surprise que le Baron sache cela.

- Ah Field, presque à l'heure. Tu te fais toujours désiré.

Harmfield entra dans la salle à manger, s'assit en face de Louise. On lui servit juste un verre de jus de fruit, ce qui étonna Louise.

- Tu connais déjà Louise, Field?Tu la verras très souvent. Nous sommes sa nouvelle famille. Je compte sur vous messieurs, pour que vous lui montriez autant de respect qu'à moi. Suis clair? !

Il y avait des conversations de tout genre pendant le petit déjeuner, quand une domestique vint voir le Baron.

- Elle est là, lui dit-elle à voix basse.

Le Baron se leva soudainement.

- Prenez votre temps, une petite histoire vite fais à régler, dit FICOME à Louise.

Harmfield ne bougea pas. Il sourit même, sachant que la dame en question n'était autre que Diane. La nuit dernière n'avait rien à voir avec ce rêve qu'il l'avait troublé au plus au haut point, et sa soif de sang avait repris au premier gémissement de Diane.

Louise s'ennuyait à table. Que devait-elle faire ? Elle ne se sentait pas à l'aise. Quant Harmfield se leva.

- Où allez vous ?

- Au garage.

- Je peux venir avec vous ?

Il ne dit rien. Elle se leva le suivi. Ils passèrent par les jardins qu'elle découvrit, pour ensuite arriver par une petite porte; le garage.

Harmfield entra en premier, l'allumant. Il était immense, où un tas de véhicules stationnaient. Il s'approcha d'une bâche, qu'il retira ; c'était l'une des berlines où Louise était déjà monter.

- Elles sont toutes au Baron.

- Non, les bâcher sont à moi.

- Et il vous autorise à les laisser ici. Plutôt gentil en fais.

Louise scruta tout les véhicules. Elle reconnu celle de l'incident. Il n'y avait plus aucunes traces. Monsieur KUNT devait être très pointilleux.

Harmfield retira sa veste de blaser, et sa chemise, qu'il accrocha à une patère. Il prit un plateau à roulette et fila sous un véhicule. Louise l'avait perdu de vue.

- Monsieur KUNT, Monsieur K...

- FIELD, ici c'est FIELD, compris !

- Oui parfaitement. Mais où êtes vous ?

- Deux pas en arrière, votre gauche. Stop.

Harmfield voyait que ces minuscule pieds enfantin. Il avait du mal à croire qu'il avait la vingtaine. Elle le cherchait du regard, et il le comprit.