Un Lourd Héritage.

L.H-Chapitre 23, France.

On frappa à la porte de la chambre, Louise se réveilla.

– Mademoiselle, téléphone, dit une domestique.

Louise surprise descendit au téléphone, c'était sa mère. Louise lui annonça qu'elle allait se marier , mais surtout qu'elle devait la voir. Sa mère ne fut pas contre et l'attendait avec impatiente. Louise raccrocha. Elle était heureuse, elle avait enfin pu avoir sa mère et la verrais bientôt. Tellement heureuse, qu'elle décida de voir Raphaël, dans son appartement. Elle remonta puis alla de l'autre coter, à l'appartement. On lui ouvrit.

– Je voudrais voir...

– Louise ? Que fais-tu ici ?

– J'ai quelque chose à te demander. Je viens d'avoir ma mère et j'aimerais aller la voir rapidement.

– Rapidement comme ...aujourd'hui ?

– C'est possible ?

Le Baron se mit à rire, puis sortit de son appartement, en peignoir de satin rouge, et alla au bureau. Louise le suivit. Il prit le téléphone. Il demanda le prochain vole pour Paris.

– Le prochain est dans 3 heures, alors ?

Louise fit « oui » de la tête , les yeux brillants.

– Ma chère Louise, il te suffit de montrer ta carte d'identité au guichet pour le reste je m'en occupe.

– Merci, merci infiniment, dit Louise surexcitée.

Elle sortit sans attendre du bureau et alla se préparer pour son voyage. Elle n'en revenait pas.

Harmfield se réveilla heureux. Quand il sentit une main sur sa hanche. Il regarda qui pouvait être là.

– DIANE ! dit-il surprit.

– Quelle heure est-il ? demanda-t-elle.

– Aucune idée. Tu ne devais pas rester avec le Baron ?

– J'en ai eu marre. Je suis arrivée y a à peine deux heures. Et je suis fatiguée. Et toi, la fin de soirée fut bonne ?

Harmfield se leva sans répondre. Il commença à s'habiller, mettant sa perruque. Il sortit prenant sa moto.

Johnny attendait dans la voiture, Louise, qui arriva avec un sac de voyage.

– Prends soin de toi et appelle-moi si tu as besoin de quoi que ce soit, dit le Baron à Louise.

Louise monta dans la voiture, direction l'aéroport.

Harmfield arriva enfin à l'hôtel, curieusement heureux d'y rentré.

– Salut Field ! dit une domestique. Tu vas à la salle à manger ?

– Comme tous les matins.

– Je sais pas si t'es au courant, mademoiselle vient de partir.

– Mademoiselle vient de partir ? Ça veut dire.

– Sa mère a appelé ce matin, et mademoiselle a demandé un billet d'avion pour partir dans quelques heures.

– Pour?

– Paris.

Harmfield fit demi-tour, en une fraction de seconde, il reprit sa moto, roulant à vive allure jusqu'à l'aéroport.

Louise descendit de la voiture que conduisait Johnny et entra avec son sac à l'épaule, dans l'aéroport, trouvant un guichet expliquant qui elle était. On lui remit un billet d'avion, départ pour Paris dans trente minutes.